Christophe Lapierre est franchisé du réseau Natilia, sur le secteur de Clermont-Ferrand depuis le début de l’année. Pour Toute la Franchise, il revient sur les raisons qui l’ont poussé à choisir ce constructeur de maisons à ossature bois et fait le point sur son activité.
Toute la Franchise : Quel a été votre parcours avant de rejoindre le réseau Natilia ?
Christophe Lapierre : J’ai fait un BTS comptabilité, suivi d’une licence de management. J’ai ensuite été commercial pour un constructeur de maisons individuelles, avant de monter ma propre affaire en 2006. Pendant quatre ans, j’ai été associé avec un architecte. J’ai donc baigné dans la maison individuelle pendant près de huit ans avant de rejoindre Natilia.
TLF : Comment s’est fait votre adhésion au réseau ?
C.L. : Vu que je travaillais dans ce domaine, j’étais aux premières loges pour assister à la naissance de l’idée. J’ai suivi le projet du début, et j’ai été vraiment attiré par le concept. Vous savez, dans le monde de la construction, tout évolue très vite. Quand on est tout seul, c’est vraiment dur de parvenir à suivre ! Avoir des compétences architecturales, juridiques, fiscales, et j’en passe, ce n’est pas évident. La force du réseau, c’est ce panel de compétences qui est mis à notre disposition. J’avais vraiment besoin de ça, même si, au départ, la franchise n’était pas une nécessité absolue pour moi !
TLF : Quels étaient les atouts de Natilia par rapport à ses concurrents ?
C.L. : Je n’ai pas choisi Natilia par rapport à un autre réseau de franchise, mais pour les valeurs qui étaient véhiculées. Le modèle économique de la franchise n’était pas une priorité pour moi. Ce qui comptait, c’était Natilia. Je n’ai pas vraiment comparé avec les autres. Ce qui m’a attiré, c’est la qualité du travail, la précision, la compétitivité.
Et puis en rejoignant Natilia, qui est une structure naissante, j’ai vu toute sa réactivité. Il y a des vraies possibilités de développement sur le long terme et ça me plaît.
TLF : Comment s’est passé votre recrutement ?
C.L. : J’ai fait partie des tout premiers à rejoindre le réseau. Après la phase de recrutement, qui est de la séduction pure et simple des deux côtés, on rentre très vite dans le vif du sujet. On a eu, comme les candidats qui sont entrés après nous, une formation théorique de deux mois, avec tous les volets (technique, juridique, commercial, etc) abordés, suivie d’un mois de pratique sur le terrain. Ensuite, dès que j’ai ouvert l’agence, j’ai été accompagné sur tous les postes clé, avec des visites régulières. Dans le réseau, il y a un intérêt commun : je veux réussir et Natilia veut que je réussisse ! On va dans le même sens et on est très bien entourés.
TLF : Vous vous êtes lancé en février dernier. Avez-vous atteint les premiers objectifs que vous vous étiez fixés ?
C.L. : Globalement, oui. J’ai prévu la vente de 14 maisons sur l’année. J’en suis déjà à 22. Au bout de six mois, je crois qu’on peut dire que le résultat est rassurant ! Je me fixe un objectif d’une trentaine de maisons à vendre sur l’année. Je pense que c’est raisonnable et que je n’aurais pas trop de mal à atteindre ce chiffre. On répond à une demande, sur un secteur où il y a assez peu d’offres, donc, forcément, on ne peut que progresser !
TLF : Estimez-vous que Natilia a respecté ses engagements de franchiseur ?
C.L. : Sans hésitation ! Dès le départ, on est pris en charge pour la formation et puis ensuite, on est accompagné aux postes clé, avec des visites de chef de chantier, d’équipes marketing et autres. Et puis il y a toute l’image de marque dont on bénéficie. Quand on travaille seul, le manque de communication, parce que ça coûte cher, est très frustrant. Là, on bénéficie de la notoriété de Natilia. Pour l’instant, je n’aurais vraiment pas d’hésitation si je devais resigner avec Natilia !
TLF : Quelles sont vos perspectives à plus ou moins long terme ?
C.L. : Dans l’immédiat, je veux arriver à maintenir une vitesse de croisière de l’ordre de 30 ventes par an. Ensuite, tous les développements sont possibles. La maison en bois représente 8 % des parts de marché en France, on peut donc largement envisager de développer l’activité. Personnellement, j’ai pour objectif d’ouvrir une agence dans l’Allier, pour travailler sur un axe de population entre Vichy et Clermont. Je pense qu’il y a beaucoup à faire sur le secteur !
TLF : Aujourd’hui, si vous deviez donner un conseil à un candidat qui souhaite rejoindre Natilia, quel serait-il ?
C.L. : De remonter ses manches, d’oublier les 35 heures et de foncer ! Et s’il a une famille, de veiller à ce que soit vraiment un projet familial, auquel tout le monde adhère, car les heures ne se comptent pas et il est important que sa famille en soit bien consciente et l’accepte. Pour le reste, il faut s’accrocher, foncer… et se défoncer !
Sandrine, Journaliste Toute la Franchise ©
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