« Je voulais créer un lieu raffiné et cosy, avec des produits haut de gamme », Océane Khemaissa (franchisée YUMI Studio Andrézieux-Bouthéon)
Océane Khemaissa a ouvert son institut de beauté YUMI Studio à Andrézieux-Bouthéon, près de Saint-Etienne, en février 2021. Pour Toute la Franchise, la jeune chef d’entreprise revient sur les raisons qui l’ont poussée à quitter son emploi salarié dans la parfumerie pour se mettre à son compte. Elle évoque les atouts de YUMI Studio, mais aussi les difficultés auxquelles elle a dû faire face, notamment au moment des restrictions sanitaires liées au Covid.
Quel a été votre parcours professionnel avant de devenir franchisée YUMI Studio ?
J’étais salariée en parfumerie. Je suis restée salariée pendant 15 ans puis je me suis aperçue que j’avais fait le tour de ce que pouvait m’apporter le marché et j’ai eu envie de me mettre à mon compte.
Pourquoi cette envie de devenir chef d’entreprise ?
Le marché de la parfumerie a énormément évolué et je ne me reconnaissais plus du tout dans ce que je faisais dans l’enseigne qui m’employait. Je voulais retrouver les valeurs qui m’ont toujours guidée depuis que je me suis lancée dans la parfumerie : le haut de gamme et le prestige. Je voulais aussi créer un lieu raffiné et cosy. Et pour cela, j’estime que je n’avais pas d’autres choix que de me mettre à mon compte !
Pourquoi avez-vous fait le choix de vous rapprocher de YUMI Studio ?
J’ai décidé de quitter la parfumerie au moment où YUMI Studio se créait. Je me suis aperçue que le concept me correspondait parfaitement et j’aimais l’idée de rejoindre un jeune réseau en construction, dont les valeurs sont proches des miennes. En plus du Made in France, ce qui est super chez YUMI Studio, c’est qu’ils surfent sur les nouvelles tendances. Dans le domaine de l’esthétique, tout évolue sans cesse et très vite, il est donc important de bien suivre les tendances pour répondre au mieux aux attentes des clientes ! Et comme la gamme est très développée, ça me paraissait vraiment idéal.
Le fait que le réseau soit tout jeune aurait pu être un frein, au contraire. Ça n’a pas été le cas ?
Comme j’étais la première franchisée, c’est vrai qu’il y avait une légère inquiétude, car on n’avait aucun recul. C’est un peu stressant car je ne savais pas exactement à quoi m’attendre en termes de chiffres. Mais le concept avait l’air solide et pertinent alors j’ai décidé de suivre mon instinct et de foncer ! Et j’ai bien fait car nous nous sommes parfaitement complétés.
Comment avez-vous été accompagnée par YUMI Studio dans votre création d’entreprise et votre lancement ?
Dès les premiers travaux au niveau du local, le franchiseur m’a mise en relation avec les architectes et a été présent pour l’ensemble des étapes en amont de l’ouverture. Qu’il s’agisse du mobilier, du stock ou des questions de réduction de coûts, j’ai pu compter sur YUMI Studio et c’était appréciable.
Au moment de l’ouverture, j’ai aussi eu la chance de bénéficier d’une publication dans un magazine local et d’un bon zoom sur les réseaux sociaux. Du coup, ça a déclenché de la curiosité, aussi bien chez les professionnels que les particuliers et j’ai vu un vrai engouement pour le studio, ce qui m’a permis de bien démarrer.
De quel type de formation avez-vous bénéficié quand vous êtes devenue franchisée YUMI Studio ?
J’ai eu une formation d’une semaine pendant laquelle j’ai pu revoir tous les protocoles de prestations et bénéficier d’une remise à niveau. Je pratiquais bien évidemment déjà le rehaussement de cils ou l’onglerie par exemple, mais la formation m’a permis de m’adapter aux process de YUMI Studio pour garder la qualité qui est de mise dans le réseau. Et si j’ai le moindre doute ou la moindre question, je peux me rapprocher de l’académie YUMI Studio, qui est le centre de formation de l’enseigne. Grâce à cela, on est certain de conserver les standards de qualité qui font la réputation de YUMI Studio.
Il faut se donner les moyens d’arriver là où on veut aller et mettre les bonnes actions en place pour atteindre le but qu’on s’est fixé
Vous avez ouvert pendant la période plus que compliquée du Covid. Comment avez-vous géré la situation ?
La période n’était effectivement pas idéale puisque j’ai dû fermer pendant le second confinement mais cela m’a permis de prendre le temps de travailler sur le digital et de renforcer ma présence sur les réseaux sociaux. Je suis quelqu’un qui a tendance à toujours transformer les points négatifs en positif, je me suis donc dit que c’était un mal pour un bien et qu’il fallait que je mette à profit ce « repos » forcé qu’on m’imposait !
Comment envisagez-vous l’avenir au sein du réseau ?
A court terme, mon objectif est de parvenir à stabiliser et pérenniser mon équipe et mon activité dans le Studio d’Andrézieux-Bouthéon. Ensuite, je souhaite me dégager un peu de temps pour travailler sur la suite du projet, à savoir l’ouverture d’un second studio !
Quelles sont, pour vous, les qualités indispensables pour réussir avec YUMI Studio ?
Je pense que pour devenir franchisé YUMI Studio il faut être
- Coachable. Comme tout chef d’entreprise, il est important de savoir accepter les remarques, qu’elles soient positives ou négatives, du moment qu’elles sont constructives ! Il n’y a que comme ça qu’on peut espérer réussir !
- Organisé
- Multifonctions
- Passionné. C’est un métier passion donc si on n’a pas cette fibre là, inutile d’essayer de réussir sur le marché !
Quels conseils donneriez-vous à un candidat qui souhaite se lancer dans l’aventure YUMI Studio mais hésite à le faire au vu du contexte actuel ?
Vu mon expérience personnelle, je lui dirais que quand on veut, on peut ! Il faut se donner les moyens d’arriver là où on veut aller et mettre les bonnes actions en place pour atteindre le but qu’on s’est fixé. A partir de là, il n’y a aucune raison pour ne pas arriver à faire ce que l’on veut, y compris devenir chef d’entreprise dans un contexte économique tendu !
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