Bonjour Arnaud, pourriez-vous vous présenter ? Ainsi que votre parcours ?
Arnard Brégeon : Bonjour, je m’appelle Arnaud Brégeon, j’ai 44 ans et vis en région parisienne (77). Après des études techniques en maintenance spécialisée dans le matériel et les véhicules BTP/industrie, j’ai au final complètement changé de branche en entrant dans la vie active.
En effet, dès 1994, j’ai travaillé en tant qu’indépendant (profession libérale) en intervenant comme conférencier en milieu scolaire. Après vingt années d’une activité sans faille, mais cependant lassé, je désirais trouver de nouveaux challenges. C’est alors que j’ai découvert X’treme Color.
Qu'est-ce qui vous a conduit à créer une entreprise dans la retouche d'éléments de carrosserie ?
A.B. : Amoureux des automobiles, ce concept m’est apparu comme une évidence, une nécessité pour tous, aussi bien pour un particulier très vite puni pour une petite erreur de stationnement, que pour les professionnels, puisqu’elle est aussi une solution pertinente et rentable pour eux. Bref une idée de génie !
Pourquoi avez-vous décidé de partir avec X'treme Color ?
A.B. : Bien que la marque soit née en 2007, le réseau en en est à ses débuts et cela me plait ! Par la suite, j’ai rencontré Christophe et Jerry, et le contact est immédiatement bien passé entre nous. Ils m’ont fait une démonstration, et comme tout le monde, j’ai été bouche bée par ce tour de magie.
Cette marque m’a immédiatement donné une impression de sérieux, de qualité et d’ambitions, ce qui correspond parfaitement à ce que je cherchais, je me suis très vite projeté exerçant au sein de l’enseigne.
Les départements du Val de Marne et de la Seine et Marne étant disponibles, me lancer était devenu une priorité, une opportunité à ne pas manquer.
D'après ce que vous avez pu commencer à voir quel est votre regard sur le marché ?
A.B. : Le marché est incroyablement porteur, il me semble.
C’est simple, il suffit d’expliquer à quiconque que pour 69 € (ht), un pare choc frotté ne sera qu’un lointain souvenir, que le quidam voudra vous garder dans ses contacts (preuve à l’appui).
Imaginez : aucune franchise n’entre en ligne de compte, ni d’impact sur le malus, et on est loin des 300€ pratiqués par un carrossier qui traitera l’accroc en cabine. A cela s’ajoute un service à domicile avec un véhicule qui n’est pas immobilisé et un traitement dans les 24h !
Concessionnaires, loueurs, flottes administratives ou entreprises, assureurs, particuliers, le potentiel est considérable. Tout le monde est intéressé de près ou de loin par ce concept.
Quels sont vos objectifs à moyen terme ?
A.B. : Qu’il y ait d’autres petites voitures noires qui quadrillent mon territoire ! En d’autres termes créer d’ici un ou deux ans davantage d’unités mobiles. Deux ou trois embauches me paraissent envisageables à terme. Plus loin encore, devenir franchisé d’autres secteurs, en France.
Un dernier mot de conclusion ?
A.B. : C’est avec audace que je crois au succès de cette affaire. Comme je l’ai dis c’est une évidence, une solution… à moindre coût, une formule qui peut traverser la crise, un concept qui sera toujours valable. Que les voitures roulent à l’essence, à l’électricité ou par l’opération du Saint-Esprit, elles connaîtront toujours des petits pépins de stationnement.
Interview X'Treme Color ©