Le parcours type d’un candidat à la franchise Temporis
Sur son blog, la fondatrice du réseau Temporis, Laurence Pottier-Caudron, revient sur le parcours type d’un franchisé Temporis avant son engagement avec le réseau. Créer son entreprise « exige un maximum de précautions » affirme-t-elle en insistant sur l’une d’entre elle qui est « d’évaluer sa capacité à pratiquer l’activité choisie au quotidien ».
C’est dans cette optique, s’assurer que le futur franchisé Temporis sera épanoui dans son activité, que le réseau a mis au point un « parcours de sélection mutuelle ». Parcours définit par Laurence Pottier-Caudron comme « une succession d’entretiens et de mises en situation permettant au candidat comme au franchiseur de se déterminer favorablement – ou pas ! – sur leur futur partenariat. »
Ce « parcours de sélection mutuelle » démarre par un entretien téléphonique qui permet de cerner l’intérêt réel du candidat pour la franchise Temporis dans sa globalité, aussi bien pour sa rentabilité que pour les valeurs qu’elle véhicule. Le candidat est ensuite reçu pour un entretien en face à face ayant un objectif similaire, à savoir « approfondir la personnalité du candidat et son adéquation avec un projet entrepreneurial au sein de Temporis ».
L’étape suivante consiste à permettre au candidat de se confronter au quotidien d’une agence Temporis en participant à une journée découverte au sein de l’agence pilote de Brive. Il entre ensuite dans le vif du sujet en passant deux journées complètes en immersion durant lesquels il découvre tous les postes. Cette étape primordiale permet au candidat de découvrir les réalités du terrain et au franchiseur de jauger de ses capacités réelles en situation.
Ce n’est qu’après ces phases de découverte de la franchise Temporis que le candidat et le franchiseur sont à même de s’engager durablement. Ils se réunissent alors lors d’un ultime entretien durant lequel Laurence Pottier-Caudron et son associé, Pierre Moritel, se prononce sur l’acceptation ou non du candidat au sein du réseau Temporis. Et si les deux parties sont mutuellement d’accord ce n’est qu’à ce moment-là que le candidat à la franchise reçoit son DIP.
Pour Laurence Pottier-Caudron ce cheminent est indispensable. Elle met en garde les entrepreneurs souhaitant rejoindre un réseau de franchise en leur conseillant de se méfier « d’un franchiseur qui veut signer rapidement ! ».
Découvrez l'article de Laurence Pottier-Caudron sur www.conseil-entreprendre.fr