Premier bilan positif pour les franchisées Mikit de 2014
Elles s'appellent Sylvie Lerda, Emmanuelle Guillaume, Sophie Duwiquet, Sylvie Colandini, Marjorie Klauza ou Cindy Joly, ont entre 30 et 55 ans, ont fait carrière dans le télémarketing, la banque, l’agroalimentaire ou l’administration, et ont pour point commun d'avoir choisi Mikit pour se lancer à leur compte en 2014.
Qu'elles aient choisi la micro-franchise ou la franchise pure, le bilan est le même : elles sont heureuses de s'être lancées, et apprécient pleinement l'accompagnement proposé par le constructeur de maisons individuelles en prêt-à-finir, que ce soit en matière de formation, d'assistance technique ou de soutien au quotidien. Le produit leur plaît, et les objectifs se remplissent : Sylvie Lerda a par exemple déjà atteint son objectif de 10 maisons vendues.
Chacune d'entre elle a pour mission d'apporter écoute et conseils à une clientèle composée majoritairement de primo-accédant modestes : "nos clients n’auraient jamais imaginé pouvoir devenir propriétaires, à nous de leur expliquer que c’est possible, tout en les accompagnant pas à pas dans la préparation du dossier financier" explique Sylvie Colandini à Arthon-en-Retz. Il faudra alors, dans le même temps, tisser un lien de confiance avec eux : "l’intégrité et la transparence dans les échanges sont indispensables pour mener le projet à son terme" affirme Emmanuelle Guillaume à Gisors.
Et pour mener à bien cette mission, elles ont su dépasser l'a-priori du machisme présent dans le milieu de la construction. Pour Marjorie Klauza à Troyes, "C’est un monde rude, on ne peut le nier, mais avec de la rigueur et de la persévérance nous n’avons aucun problème à nous faire entendre". S'il leur faut savoir rester ferme, "Nous sommes tous et toutes à armes égales à partir du moment où nous sommes professionnels et où nous apportons une solution" affirme Sylvie Colandini.