Portrait d’Eric Moioli, franchisé Juris Diagnostics Immobiliers en Drôme Ardèche
Eric Moioli fait partie de ces cinquantenaires qui décident de donner une nouvelle orientation à leur carrière en créant leur propre entreprise. Or, se reconvertir après 50 ans n’est pas une décision si facile à prendre. « C’est toujours dur de se remettre en question après 50 ans », confirme Eric Moioli qui, lui, a sauté le pas pour se lancer dans un projet de création d’entreprise sur le marché du diagnostic immobilier.
Quel que soit son âge et son expérience, une reconversion professionnelle demande une solide préparation et nécessite un accompagnement. La franchise représente en ce sens une formidable opportunité de créer son entreprise en bénéficiant non seulement de l’accès à un concept, un savoir-faire éprouvé, des outils et une notoriété mais également à un accompagnement, tant dans la création de son entreprise que, par la suite, dans son développement. C’est cette voie qu’a choisi Eric Moioli pour mener à bien son projet entrepreneurial. Il a décidé de devenir franchisé Juris Diagnostics Immobiliers. Quant au choix du secteur d’activité, le diagnostic immobilier s’est imposé à lui. « J’y pense depuis très longtemps car j’ai toujours eu un attrait pour le monde du bâtiment, explique-t-il. Lorsque j’ai décidé de me reconvertir, le diagnostic immobilier est apparu comme totalement en accord avec mes expériences et ce que je recherchais. » Ancien salarié SNCF, il suivait en effet les travaux des différents bâtiments de la société.
Ce qui l’attire dans le métier de diagnostiqueur immobilier c’est cet aspect technique en rapport avec le monde du bâtiment mais également le relationnel qu’il implique. S’il admet qu’une reconversion suppose une nécessaire remise en question il ne regrette pas d’avoir fait ce choix. « C’est un travail de passer les certifications et encore un autre d’apprendre le métier de diagnostiqueur, mais aujourd’hui je ne regrette vraiment pas de m’être lancé dans l’aventure », rapporte le franchisé qui vient d’achever la formation initiale dispensée par le réseau Juris Diagnostics Immobiliers à ses nouveaux franchisés.
La qualité de la formation est un des critères observés par Eric Moily dans le choix de sa franchise. En amont de son projet, dans le cadre de sa recherche de franchise, il explique avoir hésité entre deux réseaux pour finalement jeter son dévolu sur la franchise Juris Diagnostics Immobiliers. « J’ai décidé de suivre mon instinct car j’ai senti chez Juris un esprit réseau plus présent, témoigne-t-il. J’ai réellement eu le sentiment de pouvoir avoir le soutien d’un réseau tout en étant indépendant sur ma zone d’exclusivité, mon secteur. » Ce ressenti s’est confirmé au fil de son intégration au réseau et notamment durant sa formation en immersion qui lui a permis de rencontrer les équipes du réseau. « Tous les membres sont impliqués pour l’enseigne avec une entraide et un esprit réseau palpable. »
Cette formation en immersion lui a également permis d’acquérir le savoir-faire et les méthodes développés par le réseau en matière de diagnostic immobilier et de s’imprégner du quotidien d’un franchisé. « J’ai pu m’apercevoir qu’il faut acquérir des automatismes, apprendre à regarder les bâtiments autrement, et toujours conserver la rigueur et la vigilance nécessaire pour ne rien oublier et ainsi assurer des diagnostics en accord avec la réglementation. » L’autre enseignement de cette formation concerne la dimension commerciale, omniprésente dans le métier de diagnostiqueur immobilier indépendant.
A l’issue de cette formation, Eric Moioli est désormais opérationnel pour ouvrir son agence de diagnostic immobilier, aboutissement de son projet de reconversion professionnelle. Là encore, l’entrepreneur va pouvoir profiter du soutien et du savoir-faire de son réseau. Il est pleinement confiant en l’avenir. « Je suis conforté dans mon choix quand je vois que Juris s’efforce de toujours évoluer sur tous les plans et notamment sur la communication avec des supports percutants et adaptés pour un développement efficace de l’activité », confie le chef d’entreprise.
