Parole de franchisé : « Le courtage en travaux tel qu’il est pratiqué aujourd’hui est dépassé »
Courtier en travaux Aximotravo, Ludovic Oliveira exerce son activité à Limoges depuis bientôt trois ans. Il a rejoint le réseau Aximotravo en 2016 dans le cadre d’une reconversion professionnelle. Aujourd’hui, il a le recul nécessaire pour évaluer le bienfondé de cette décision prise il y a trois ans de créer son entreprise avec le réseau Aximotravo. Découvrez son témoignage.
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Ludovic Oliveira : Je suis un local, né à Limoges. J’ai 33 ans et j’ai un tempérament « fonceur ». Travailleur, j’ai besoin d’être passionné par tout ce que j’entreprends.
TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support du réseau Aximotravo ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
LO : J’ai créé ma société avec le support du réseau Aximotravo car mon choix impliquait une réorientation professionnelle. Je n’évoluais pas dans le monde du bâtiment auparavant et j’avais donc besoin d’être accompagné sur le long terme et de bénéficier de formations et d’assistance. De plus, le métier de courtier en travaux se pratiquant généralement seul, le côté réseau et partage d’expériences des licenciés m’attirait. Oui j’ai consulté des concurrents d’Aximotravo, mais aucun n’a réellement retenu mon attention…
TLF : Qu’est-ce qui vous a poussé à réaliser une réorientation professionnelle ?
LO : J’ai ressenti le besoin de changer d’environnement, de repartir sur un autre projet où tout était à créer et développer. Je pense que l’approche de la trentaine a été un déclencheur. Il faut savoir se remettre en question parfois et la vie est courte, donc si on peut « s’éclater » dans son travail il ne faut pas s’en priver !
TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité par le réseau Aximotravo ?
LO : J’ai pu disposer de tout ce que je souhaitais : de l’humain, du soutien et surtout une réalité terrain. Mon franchiseur a tout compris : la théorie ne remplacera jamais la réalité du terrain. C’est pourquoi l’accompagnement se fait toujours d’une manière collective au sein du réseau puisqu’on peut aisément s’apporter les uns les autres. Nous avons un accompagnement commercial, juridique, technique au besoin. Nous formulons une demande et nous recevons toujours un retour concret et des solutions.
TLF : La formation Aximotravo vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
LO : Oui complètement car j’ai pu recevoir la formation au courtage et à l’assistance à maîtrise d’ouvrage de manière progressive et en fonction de mes besoins, de l’état d’avancement de mon projet.
TLF : Votre réseau a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
LO : Oui et bien plus encore, car le concept Aximotravo est en constante évolution et lors de mon intégration au réseau mon franchiseur n’avait pas évoqué tous les services qui sont actuellement en train d’être mis en place. C’est juste impressionnant. La vision du courtage en travaux n’est pas celle que l’on trouve chez la concurrence aujourd’hui. En effet, grâce à mon franchiseur et les outils mis à disposition, je me rends compte aujourd’hui que le réseau Aximotravo est en perpétuelle recherche d’évolution, de différenciation et d’augmentation de la satisfaction client.
TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
LO : L’esprit réseau est effectivement très présent. Nous nous retrouvons régulièrement entre licenciés et nous nous entraidons au quotidien. Et les derniers entrants au sein du réseau sont déjà dans l’ambiance et l’esprit de la franchise : simplicité et efficacité, être sérieux sans se prendre au sérieux…
TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
LO : Je les ai toujours dépassés jusqu’à présent. Et simplement avec le courtage et l’assistance à maîtrise d’ouvrage. Alors avec les nouveautés actuelles, je ne connais pas encore la limite possible en termes de chiffre d’affaire… j’ai l’impression qu’il n’y a pas de limite au développement chez Aximotravo !
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
LO : Je participe régulièrement à des salons de l’habitat, j’investis sur des sponsorings autour du sport pour être visible, j’ai mon réseau de prescripteurs et, depuis peu, je bénéficie d’une véritable stratégie digitale orchestrée par mon franchiseur et qui m’apporte également des contacts chantier.
TLF : Avec le recul, diriez-vous que le concept Aximotravo est bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
LO : Avec du recul, depuis mon démarrage, je peux dire avec certitude que le réseau vient de prendre un virage impressionnant. Je ne pense plus que nous soyons sur un marché concurrentiel. En effet, je ne me considère plus comme un courtier en travaux. Notre offre aujourd’hui dépasse ce stade. La stratégie digitale et les moyens qui ont été mis en place font que les consommateurs ne nous perçoivent pas comme des courtiers classiques. Le courtage en travaux tel qu’il est pratiqué aujourd’hui est dépassé. C’est un modèle qui n’est plus dans l’air du temps. Il est temps d’avoir une vision moderne à laquelle les nouvelles générations vont adhérer à 100%, une vision également très efficace auprès de notre clientèle actuelle. Aximotravo avance toujours en ce sens.
TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
LO : Non pas du tout au final ! L’expérience de mon franchiseur m’a permis de comprendre les enjeux du secteur et les directions à prendre pour me développer.
TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
LO : J’aurais peut-être pu créer mon activité seul. La développer un peu, pourquoi pas. Beaucoup, certainement que non. Perdurer non plus. Ce qui est certain c’est que si j’avais décidé d’entreprendre seul et qu’un courtier Aximotravo s’était implanté sur Limoges, au vu de l’offre Aximotravo, j’aurais énormément regretté d’avoir fait le mauvais choix…
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec le réseau Aximotravo ?
LO : Oui et sans réfléchir.
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats souhaitant devenir courtier en travaux ?
LO : De plus en plus de personnes sont intéressées pour développer leur activité de courtage en travaux aujourd’hui. Soit ils veulent faire du courtage à l’ancienne – mais je ne suis pas sûr que les nouvelles générations apprécient, soit ils veulent réellement être dynamiques et incontournables sur leur secteur, profiter d’opportunités dont ils ne soupçonnent même pas l’existence. Dans ce dernier cas, il n’y a qu’un choix possible.