« Le temps est précieux et La Cabane d’Achille et Camille me permet de l’optimiser pour être auprès de mes enfants » - Témoignage d’une jeune maman, franchisée à Epernon
Nelly Correc a ouvert sa micro-crèche avec La Cabane d’Achille et Camille à Epernon, en Eure et Loir, au début de l’été. Pour Toute la Franchise, elle revient sur tout l’accompagnement dont elle a bénéficié de la part du réseau, qui lui a permis de se lancer rapidement, sans perdre de temps précieux. La jeune maman explique en effet qu’elle préfère s’appuyer sur le savoir faire de l’enseigne pour gagner du temps et « être auprès de ses enfants ».
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Nelly Correc : J’ai 31 ans et je suis maman de deux enfants de 4 et 2 ans.
Je suis titulaire d’un Master en droit et d’un Master 2 en enseignement que j’ai validé en 2010. J’ai pu exercer en tant qu’enseignante remplaçante dans une classe de maternelle et cela fut une révélation. En 2015, je me suis formée aux neurosciences ainsi qu’à la méthode Céline Alvarez, une méthode basée sur l’épanouissement de l’humain. J’ai par la suite entrepris une démarche de validation d’acquis de l’expérience qui m’a permis en décembre 2018 de valider le CAP accompagnement éducatif petite enfance.
TLF : Pourquoi avoir choisi d’ouvrir une micro-crèche en franchise avec La Cabane d’Achille et Camille ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
N.C. : La franchise a un côté rassurant ! Je souhaitais faire partie d’un réseau qui revendique l’accompagnement de l’enfant mais aussi des parents et qui promeut des valeurs au niveau national. Les repas en majorité bio, les produits d’entretien et les différents outils numériques que propose la Cabane d’Achille et Camille m’ont confortée dans mon choix. J’ai consulté d’autres réseaux de franchises mais je ne suis pas allée plus loin que la prise de contact.
TLF : Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
N.C. : Non, j’ai été institutrice pendant 7 ans dans des classes à double niveaux : moyenne et grande section avant de me lancer dans mon projet, j’ai donc le secteur de la petite enfance chevillé au corps.
C’est un projet personnel, une réalisation de moi-même. Je souhaitais aussi travailler avec des enfants plus jeunes, porter leurs visions.
J’avais envie d’entreprendre depuis un moment, d’informer et d’accompagner les parents différemment. La micro crèche offre un accueil limité et permet un meilleur accompagnement des enfants et de leurs rythmes.
TLF : Comment avez-vous été accompagné dans la création de votre crèche et son ouverture ?
N.C. : Très bien ! A chaque étape de ce projet nous avons beaucoup communiqué avec Anne-Laure et Junior Noubissi, les fondateurs de l’entreprise. Il y a un an, je suis allée pour la première fois à Nancy et j’y ai été très bien accueillie en tant que personne.
J’ai été accompagnée dans mes démarches concernant la recherche de local ainsi que son aménagement et pour les rendez-vous institutionnels (Caisse d’Allocations familiales, Protection Maternelle et Infantile-Conseil départemental). Ce fut un réel soutien.
Grace à la franchise, j’ai pu entrer en contact avec In Extenso, le cabinet d’expertise comptable. J’ai eu un interlocuteur, qui m’a très bien conseillée, la communication est facile et cela est rassurant.
J’ai aimé l’approche humaine car, pas à pas, j’ai pu évoluer dans cet accompagnement.
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
N.C. : La formation théorique aborde tous les aspects de ce qu’un futur gestionnaire va être amené à traiter. Cela va du projet pédagogique à tout l’aspect juridique de la micro-crèche. Les aspects innovants, la formation snoezelen, la communication non violente à l’égard des gestions de conflits dans l’équipe notamment. J’y suis sensible et je trouve cela positif que ce type de communication s’applique au monde de l’entreprise. J’ai découvert alors que des outils de gestion très pratique allaient être mis en place.
C’était aussi très satisfaisant du point de vue des valeurs qui se retrouvent dans l’approche pédagogique (éducation positive, verbalisation…) et dans le choix du bio entre autres.
Le fait de devenir chef d’entreprise, se responsabiliser, gérer une structure tout cela était loin de ce que j’imaginais. Les différentes étapes peuvent sembler compliquées au départ, j’ai beaucoup stressé mais tout est schématisé, clair et finalement cela devient rassurant.
La formation Snoezelen est complète, j’aime beaucoup cette approche de l’humain.
Dans le cadre de la formation, j’ai aussi apprécié les échanges avec les autres franchisés.
TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
N.C. : J’ai ouvert ma Cabane à Epernon le 24 juin dernier et mon planning d’accueil était pourvu à 60 %. Aujourd’hui et depuis la rentrée de septembre ma Cabane est complète, j’ai donc atteint mes objectifs.
TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur le marché de la garde d’enfants ?
N.C : Oui, la promesse de l’innovation est présente, il y a vraiment une dynamique. Le concept vient répondre à la demande et se positionne bien. Le projet est bien accueilli par les parents.
TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
N.C. : Complètement, c’est un travail complet. Je me sens ancrée dans la vie locale (communauté, événements,) par rapport à mon expérience d’institutrice.
La polyvalence du métier, la notion de contribuer et de partager entre franchisés me plait.
De plus travailler avec une équipe que l’on a choisie est un vrai bonheur.
TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez dû la créer seule ?
N.C : Peut-être mais cela aurait été plus long, le temps est précieux et je préfère l’utiliser pour être auprès de mes enfants.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur pour ouvrir une crèche?
N.C. : Oui tout à fait ! Je suis contente d’avoir choisi La Cabane d’Achille et Camille pour ouvrir ma crèche et de continuer la collaboration dans le futur ; je suis d’ailleurs aujourd’hui en négociation de locaux pour une deuxième Cabane qui ouvrira ses portes début 2020.
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par le marché des crèches et La Cabane d'Achille et Camille en particulier ?
N.C. : L’entourage pour cette aventure est primordial, être bien accompagné je crois que c’est le plus important. Le réseau permet de se poser de bonnes questions. Parfois on a l’impression d’être dépassé, c’est vrai mais une chose après l’autre et tout prend forme.
En somme, rencontrer le réseau de franchise et se faire confiance pour prendre la décision.