« Très rapidement et grâce notamment à la saison, nous avons pu poursuivre nos activités », Jean Lourdin (SOS-BRICOLAGE)
Interviewé début octobre, Jean Lourdin, fondateur et gérant SOS-BRICOLAGE, évoquait le bilan de cette année 2020 bien particulière. Revenant notamment sur les répercussions du premier confinement sur l’activité, il évoquait un important besoin de nouveaux intervenants pour répondre à une demande croissante. (A voir en vidéo)
SOS BRICOLAGE
Toute la Franchise Le concept SOS Bricolage est-il inédit ou traditionnel ?
Jean Lourdin : Il est à la fois inédit et traditionnel. Inédit puisque nous sommes le seul réseau spécialisé dans ce domaine de petit bricolage, petit jardinage. Et traditionnel parce que l’activité est vraiment traditionnelle. J'aime bien dire que "l'homme de Néandertal faisait déjà des petits travaux de bricolage" donc, historiquement, c'est un concept qui est quand même largement éprouvé.
Comment votre marché a-t-il été impacté par la crise ?
Comme tous les réseaux, comme toutes les entreprises, au moment de l'annonce du Covid et du confinement notre marché a été bloqué puisque, bien évidemment, nous avons observé toutes les mesures gouvernementales. Pour autant, très rapidement et grâce notamment à la saison et à notre activité dans le domaine du petit jardinage, nous avons pu poursuivre nos activités.
Je me permets de rappeler qu’il ressort de nombreuses analyses économiques que le bricolage et de jardinage sont les hobbies préférés des Français. Et, même s'ils étaient chez eux, ils ne savent pas tout faire et ont fait appel à nos intervenants.
Comment le réseau SOS Bricolage s’est adapté à cette crise ?
Nous avons observé toutes les mesures gouvernementales avec, naturellement, le port du masque, des gants, etc. et un minimum de contact avec nos clients avec une activité davantage déportée sur le jardinage que sur la partie bricolage. Encore une fois, l'impératif pour nous est de nous tenir à distance de nos clients, même s'ils sont chez eux et peuvent quand même observer ce que l'on fait.
Quels sont, aujourd’hui, vos perspectives et ambitions de développement ?
Nous avons aujourd'hui une petite centaine d'intervenants sur l'ensemble du territoire français. Notre objectif est d'arriver à 300, 400 intervenants puisque l'activité est vraiment très locale et nécessite donc un maillage beaucoup plus serré pour pouvoir répondre à toutes les demandes que nous recevons. Et nous générons de plus en plus de demandes donc nous avons besoin d'augmenter sensiblement notre nombre d'intervenants.
Quel est, pour SOS Bricolage, le franchisé idéal ?
Le franchisé idéal, chez nous, c'est quelqu'un qui est bricoleur et qui a envie d'en faire son métier. On a beaucoup de gens qui nous rejoignent d'une manière délibérée en quittant leurs activités mais on accueille également, dans la mesure où nous sommes partenaires de Pôle Emploi, des personnes qui souhaitent recréer leur emploi en nous rejoignant.
Dans les deux cas ce sont des gens qui sont très bricoleurs, qui le font peut-être déjà de manière officieuse et qui se disent "j'ai de l'or dans les mains et j'ai envie d'en faire mon métier". Ils viennent chercher chez nous l'organisation, la formation et l'encadrement nécessaires à cette activité pour qu'elle soit optimum.
Voir l’interview de Jean Lourdin, fondateur et gérant SOS-BRICOLAGE, en video :
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