« Le support d’une franchise me paraît incontournable dans ce secteur d’activité qui exige de nombreuses connaissances », Sylvain Brunet (franchisé Mikit)

Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots et nous expliquer ce qui vous a motivé à devenir franchisé Mikit ?

Sylvain Brunet : Expérimenté dans le management et le commercial, me mettre à mon compte était une évidence. Je suis en outre passionné par l’habitat. J’ai moi-même réhabilité de nombreux logements pour la location. Proposer une solution sur du neuf était un réel plus. C’est pourquoi le concept Mikit de prêt à finir me correspondait bien. 

Le support d’une franchise me paraît incontournable dans ce secteur d’activité qui exige de nombreuses connaissances et l’accompagnement du réseau Mikit est un gage de réussite.

Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?

Je dirai que l’accompagnement est là mais qu’il n’est pas forcément adapté à chacun. J’ai pour ma part perdu du temps dans le lancement de mon activité. Je regrette par exemple qu’il n’y ait pas d’accord bancaire en local : j’ai donc dû mettre en place des solutions. J’ai aussi du pallier l’arrivée très tardive d’un responsable technique.

La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?

J’ai apprécié la première intégration. La seconde intégration ne m’a cependant quasiment rien apporté si ce n’est sur la partie technique 

Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?

Honnêtement, je regrette qu’il n’y ait pas de solution de financement, de support technique au démarrage, de solution maison adaptée au secteur ou encore d’autres solutions de chauffage que le poêle disponible sur le Doubs (région la plus froide de France). Mon démarrage n’a pas été simple mais je ne regrette cependant pas mon engagement avec la franchise Mikit qui m’a permis de surmonter un bon nombre de sujets.

En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ? 

Il est encore un peu tôt pour faire un bilan. Les contrats sont réalisés conformément à mes objectifs sur les 9 premiers mois. Cependant, pour faire du chiffre d’affaires il faut que les maisons soient construites et, sur ce point, je n’ai à ce jour aucune vision. 

L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?

Oui complètement. Je pense que le modèle Mikit a fait ses preuves même si, à mon sens, il manque des solutions pour le mode achat. 

Auriez-vous pu créer seul votre activité et, si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?

Non, je n’aurai pas pu créer mon activité seul. Si c’était à refaire je signerais à nouveau. Je pense avoir murement réfléchit mon choix, pourquoi changer ?

Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ? 

D’avoir conscience que le métier est particulièrement difficile. La signature de contrats est certes valorisante mais pas suffisante pour consolider son activité. Dans mon cas j’ai des fonds me permettant d’assurer deux ans de trésorerie et, à mon sens, c’est ce qu’il faut pour lancer sereinement son activité.

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