« Je suis autonome, indépendante, je travaille au rythme qui me convient et je suis au contact des gens que j’apprécie » Anne Bourdely (Mapetiteagence)
Anne Bourdely a rejoint Mapetiteagence en 2018 et propose ses services à Aix-en-Provence, dans les Bouches-du-Rhône. Elle revient ici sur son parcours avec l’enseigne.
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Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je suis Anne Bourdely, j’ai 64 ans, j’ai intégré Mapetiteagence en 2018, grâce à Thomas (Chehabeddine, cofondateur du réseau, ndlr) qui pensait qu’avec mes capacités, je pouvais faire ce métier, un métier qui me plaît beaucoup parce que je suis autonome, indépendante, je travaille au rythme qui me convient et je suis au contact des gens que j’apprécie. Vendre et être au contact des gens, ce sont des choses qui me plaisent énormément et en plus je gagne bien ma vie.
Pourquoi avoir créé votre société avec le support de MPA ? Avez-vous consulté des concurrents ?
Non, j’ai atterri dans Mapetiteagence, je suis auto-entrepreneur, la seule chose que j’ai faite c’est de prendre contact avec des comptables pour être correctement conseillée. Je n’ai pas essayé de travailler avec un autre réseau parce que j’étais déjà en contact avec Thomas.
Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
J’ai travaillé pendant 8 ans chez un syndic d’immeuble, j’ai été amenée à apprendre des choses depuis déjà quelques années, puisque, avant de travailler chez ce syndic, j’ai été restauratrice de meuble, ébéniste et je faisais de l’antiquité brocante. Donc j’étais déjà passé d’un job à un autre vraiment très différent.
J’ai changé d’activité car j’en ai eu assez de mal gagner ma vie, et là, mon métier dans Mapetiteagence m’a fait prendre un virage que je ne pouvais pas espérer dans la brocante.
Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagnée dans votre activité ?
Quand je me pose des questions, on me donne toujours des réponses, mais sinon, dans mon quotidien, je suis seule avec moi-même.
La formation t’a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
Non, j’ai eu les grandes lignes et puis après il n’y a rien de tel que le terrain : il y a que lorsque que vous êtes sur le terrain que vous voyez vraiment les problèmes, les avantages, les inconvénients, ce qu’il faut changer… après c’est le métier qui rentre, comme on dit.
MPA a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
Oui.
Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
Oui, absolument. Celui avec lequel je m’entends le mieux, et qui en plus est proche de moi, c’est Jean-Luc Ferro, qui est basé sur Marseille. Il nous arrive de communiquer, même si c’est une communication uniquement amicale, pour le moral, pour rigoler, on se contact régulièrement.
En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
Pas en nombre de ventes, mais il se trouve que j’ai fait peu de ventes, mais de grosses ventes avec des commissions importantes. Et il faut faire attention, j’ai eu pas mal d’occasions qui ne se sont pas concrétisées pour des raisons x ou y. Je suis passée à côté d’au moins quatre ventes qui étaient allées assez loin, principalement pour des raisons de timing (livraison trop lointaine) ou alors pour des raisons financières, et là, je ne peux pas faire grand-chose si les gens considèrent qu’ils n’ont pas les moyens et qu’ils ne veulent pas aller au-delà.
Quelles actions menez-vous pour développer votre CA et vos clients ?
Je n’ai pas d’action particulière, je continue de travailler d’une certaine façon, d’essayer d’accompagner des clients de A à Z. Quand je suis obnubilée par des clients j’essaye de mener le projet à bien, je me mets à fond. Parfois, on doit revenir vers le client pour lui reparler, parce qu’entre temps il y a des choses qui ont changé, il s’est peut-être aperçu de différentes choses, il a peut-être des critères qui ont changé et si je ne reviens pas vers lui, je ne le sais pas or il m’arrive de ne pas le faire, de ne pas revenir vers lui, de ne pas le relancer et ça je pense que c’est mon principal défaut.
Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
Vu le nombre qu’on est à faire ce métier sur le marché, autant dire que sur Aix, oui. Et je serais presque tentée de dire qu’il y a de la place pour tout le monde. Alors, il y en a qui travaillent différemment que d’autres mais par exemple ceux qui veulent travailler avec des investisseurs ont un champ d’action énorme, il y a vraiment de quoi faire.
L’analyse menée avant de rejoindre MPA corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
Je n’ai pas mené d’analyse. J’ai ce relationnel avec les clients… essayer de les conseiller, de leur trouver les choses qui sont les plus adaptées à leurs recherches etc. Pour moi, vendre un meuble que j’ai restauré ou vendre un appart c’est la même chose, c’est en fait le contact avec le client et de lui faire acheter quelque chose que j’ai à lui vendre. En n’ayant pas analysé, j’ai plutôt eu des bonnes surprises quand j’ai touché ma première commission.
Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez dû la créer seule ?
Pas du tout. Il y a trop de chose qui me dérange dans ce métier et que Mapetiteagence fait pour moi et j’en suis bien heureuse. Il faudrait que je travaille avec d’autres personnes pour pouvoir faire cette activité et gérer ces personnes-là, et ça, je n’en ai pas envie. Donc cela m’arrange tout à fait que les questions administratives de rapport avec les promoteurs, les annonces ou autres soit faites par Mapetiteagence, car ça demande un temps considérable. Je ne suis pas très en avance pour gérer tous les contacts que je reçois et je suis bien contente que Mapetiteagence fasse le boulot !
Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec MPA ?
Oui, complétement.
Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par MPA ?
Il y a un vrai travail minutieux, de fourmie au quotidien qui fait qu’on avance et on vend, et de se dire que quand on travaille, ça tombe. Il ne faut pas s’éparpiller, d’essayer de faire le job le plus sérieusement possible ne serait-ce que par respect vis-à-vis de Mapetiteagence.
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