Retour d’expérience du premier retraité du réseau France EDL

« Je souhaitais changer d’activité et être indépendant »

Ancien cadre du transport et de la logistique, Jean-Paul Chalaye a réalisé l’intégralité de sa carrière dans ce secteur d’activité qu’il a rejoint à l’âge de 22 ans avant d’envisager une reconversion. « À quelques années de la retraite, je souhaitais changer de cadre d’activité et être indépendant », explique-t-il. Pour réaliser ce projet de création d’entreprise, il se penche sur le système de la franchise qui lui permet de se reconvertir en bénéficiant d’un concept déjà éprouvé et d’un accompagnement. 

Dans un premier temps, il fait le choix d’entreprendre avec une enseigne spécialisée dans la diététique et la minceur. Cependant, après deux ans à la tête de son centre minceur, il décide de changer complétement d’activité pour s’orienter vers l’immobilier. Après une rapide étude des concepts lui permettant de créer une entreprise dans l’immobilier, il jette son dévolu sur celui du réseau France EDL. « La formule proposée par France EDL m’a paru accessible sans avoir d'expérience dans l’immobilier, aussi bien sur le plan technique que financier, précise-t-il. J’avais pu voir quelques concurrents lors de mes recherches mais France EDL me paraissait déjà bien assez complète par rapport à son offre. J’ai consulté une bonne dizaine de franchisés France EDL par téléphone et j'ai eu des ressentis très favorables qui m’ont été confirmés par la suite. »

L’accompagnement du réseau France EDL

Jean-Paul Chalaye rejoint ainsi le réseau France EDL en avril 2019 pour lancer son activité de réalisation d’états des lieux et autres services immobiliers dans le secteur d’Avignon. Pour se lancer dans cette nouvelle activité, il peut s’appuyer sur le soutien du réseau France EDL qui lui dispense notamment une formation initiale afin de maitriser les techniques et les outils indispensables à l'exercice du métier.

Pour l’entrepreneur, cette formation ainsi que l’accompagnement du réseau se sont révélés primordiaux. En effet, disposant d’un solide bagage commercial, il n’est cependant pas issu du secteur. « La formation en état de lieux m’a semblé nécessaire, confirme-t-il. Et j’ai trouvé pertinent qu’elle soit proposée par France EDL. J’ai suivi cette formation auprès Laurent Lepvrier, le dirigeant de France EDL Toulouse qui fait aussi office de centre de formation pour les nouveaux entrants. Sans cette formation, essentiellement technique, j’aurais mis plus de temps à être actif et performant. 

Les supports informatiques que propose France EDL sont également un plus, quasi indispensable dans cette activité. Le réseau est aussi particulièrement disponible pour répondre à toutes mes questions, particulièrement Laurent Lepvrier qui m’a toujours apporté des réponses efficaces et rapides. Le point qui pourrait être amélioré c’est peut-être de proposer des sessions en immersion auprès de franchisés en activité. J’avais moi-même fait la demande, à l’époque, d’aller sur le terrain auprès de l’agence France EDL 13. »

« Au-delà de la rentabilité, mon objectif réel était plus de l'ordre de la satisfaction professionnelle »

C’est donc avec toutes les cartes en main et l’assurance d’avoir le soutien de son réseau que l’entrepreneur a pu démarrer son activité en 2019 puis la développer jusqu’à son récent départ en retraite. Avec le recul, il ne regrette pas cette dernière expérience professionnelle, assurant que le réseau a respecté l’ensemble des points sur lesquels il s’était engagé. Il évoque notamment l’offre de formation : « La formation est un engagement qu’ils ont su tenir. Ils nous forment dans la transparence et la technicité. Des compétences commerciales sont a minima nécessaires pour la recherche de client mais le réseau France EDL ne nous lâche pas dans la nature. Il nous informe. » 

S’il a pu apprécier l’accompagnement et l’esprit réseau, le chef d’entreprise a surtout su atteindre les objectifs qu’il s’était fixés. « Au-delà de la rentabilité, mon objectif réel était plus de l'ordre de la satisfaction professionnelle, mon indépendance étant l’objet principal de ma démarche entrepreneuriale », ajoute-t-il. Si c’était à refaire, il assure qu’il signerait à nouveau avec France EDL : « Le concept est bien positionné sur le marché tout en étant accessible pour un porteur de projet qui ne serait pas de la profession. Avec un engagement financier raisonnable, cela reste une formule tout à fait rentable ».

Aux porteurs de projet qui seraient intéressés de rejoindre le réseau France EDL, il conseille de ne pas sous-estimer la partie commerciale. « Avoir un bon sens commercial lors de la prospection auprès des agences immobilières, et surtout, être attentif et réactif dans le suivi client au quotidien est indispensable pour réussir. La franchise est là pour vous donner un cadre de départ et un logiciel très correct. Le travail commercial reste l’affaire du franchisé », conclut-il. 

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