« Il y a un aspect chez NEXEAU qui est très important, c’est le côté humain », Antoine Delaby, co-fondateur de NEXEAU
Outre les aspects techniques et concrets de l’accompagnement offert par l’enseigne lors de l’intégration au réseau, Antoine Delaby, co-fondateur et DG du premier réseau de recherche de fuites en France, rappelle les piliers du métier et de la relation entre les licenciés et le siège.
NEXEAU
L’humain au cœur de la relation entre licencié et tête de réseau
Après un premier contact, chaque candidat bénéficie d’une présentation du métier de chercheur de fuites et du marché pour pouvoir affiner son projet. Par la suite, si l’intérêt se confirme, la tête de réseau et le futur licencié déterminent ensemble le secteur géographique d’implantation, les chiffres-clés de la zone de chalandise ainsi que les besoins de financement de chaque projet.
Mais au-delà de cela, « Il y a un aspect chez NEXEAU qui est très important, c’est le côté humain », précise Antoine Delaby, DG et co-fondateur de l’enseigne.
« Donc chaque implantation qui ouvrirait chez NEXEAU passerait par un entretien avec Léo et moi parce que c’est hyper important qu’on se connaisse mutuellement », poursuit-il.
Chercheur de fuites NEXEAU : un profil diversifié
« C’est un métier où il faut avoir envie d’être indépendant ; il faut aussi avoir une appétence technique car ça reste un métier du bâtiment ; il faut avoir une rigueur dans sa méthodologie, dans son approche ; et puis le dernier point c’est que, au-delà du métier de chercheur de fuites, vous êtes aussi chef d’entreprise et pour ça il faut aussi une rigueur administrative et aussi une fibre commerciale », explique encore Antoine Delaby pour dresser le portrait-robot du licencié NEXEAU.
« Si vous avez un projet de reconversion, n’hésitez pas à nous contacter », conclut-il.
Alors si vous souhaitez changer de métier et devenir chercheur de fuites avec une marque innovante qui place l’humain au cœur de son métier, rendez-vous sur la fiche enseigne NEXEAU pour en savoir plus.