« Le concept est bien positionné, surtout sur les entreprises de 1 à 10M€ de CA », Nicolas Lederlin, licencié Cap Cession dans les Yvelines
Licencié Cap Cession dans les Yvelines depuis 2021 après avoir créé son activité en indépendant, Nicolas Lederlin témoigne aujourd’hui des atouts de l’enseigne spécialisée dans l’accompagnement à la transmission d’entreprise, fonds de commerce, investissement au capital et vente / acquisition d'immobilier commercial et professionnel. Interview.
CAP CESSION FRANCE
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je suis Responsable de Réseau Cap Cession France dans le département des Yvelines.
J’ai 49 ans, et je me suis lancé à mon compte il y a 3 ans. Auparavant, j’étais salarié à la direction des grands comptes dans une entreprise de nettoyage industriel.
Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
Ma structure existait déjà car lorsque je me suis lancé, j’ai commencé par développer une activité de conseil et d’accompagnement auprès des dirigeants d’entreprise. Je n’ai pas consulté les concurrents de Cap Cession France car lorsqu’ils ont pris contact avec moi et qu’ils m’ont présenté leur activité et leur concept, j’ai tout de suite été séduit. L’activité correspondait à ce que je souhaitais développer et il y a eu un très bon feeling avec la tête de réseau.
Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
Non, je n’étais pas du tout dans la profession avant de me lancer. J’ai quitté le salariat et j’ai créé une structure d’accompagnement des dirigeants. L’activité de Cap Cession me semblait donc complémentaire à l’activité que je développais. Cela me permettait de compléter mon offre de service auprès des dirigeants en les accompagnant également dans leurs projets de cession ou de croissance externe.
Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
La formation initiale permet de découvrir l’activité et tous les aspects primordiaux du métier. Grâce à la présence quotidienne de la tête de réseau, nous sommes accompagnés sur la gestion de nos affaires. Ils ont été et sont toujours présents et m’ont aidé à gagner en professionnalisme et à monter en compétences techniques sur le métier.
La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
Oui tout à fait. Nous avons eu toutes les bases nécessaires au lancement de l’activité durant la formation initiale. Nous découvrons ensuite bien sûr beaucoup d’éléments lorsque nous traitons nos affaires mais nous sommes toujours accompagnés donc je n’ai pas eu de difficultés dans le développement de mon activité.
Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
Oui tout à fait.
Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
Nous avons de très bonnes relations entre nous, surtout les franchisés avec lesquels j’ai suivi la formation initiale. L’esprit du réseau est effectif, nous échangeons régulièrement des affaires entre nous, des contacts et des bonnes pratiques. J’échange moins avec certains autres franchisés qui, géographiquement, sont plus éloignés. Mais nous nous connaissons tous et pouvons échanger entre nous quand nous le souhaitons.
En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
Je n’ai pas encore atteint mes objectifs mais c’est en bonne voie. J’arrive à me verser un revenu et à faire vivre ma société. En partant de zéro, c’est un point positif !
Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
Je travaille surtout avec le réseautage : les réseaux professionnels, les clubs d’affaires, etc. Je ne fais pas de prospection pure. Le réseautage demande un certain engagement, il faut bien sûr trouver le/les bons réseaux mais cela m’apporte 80% des mandats de vente (cédants). Pour trouver les repreneurs, nous avons des outils et une base de données mis à disposition par la tête de réseau, cela nous aide également. Il faut aussi apprendre à développer un cercle vertueux : les cédants peuvent ensuite devenir des repreneurs ou des investisseurs.
Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
Oui, le concept est bien positionné, surtout sur les entreprises de 1 à 10M€ de CA, pour deux raisons principales : il y a peu de concurrence sur ce marché et les cédants sont peu ou pas accompagnés. Ils ne savent pas comment faire pour vendre une société, il y a donc un potentiel très important et le marché est dynamique.
En ce qui concerne les fonds de commerce, le concept est également bien positionné mais le marché dépend davantage du secteur d’activité des commerces que l’on traite. Il y a aussi plus de concurrence.
Pour l’immobilier, il y a deux aspects. Les locaux commerciaux demandent une bonne connaissance et maitrise de la ville, et nous sommes en concurrence avec les agences immobilières. Cependant, pour les terrains, immeubles et murs d’entreprises, le marché est très porteur et Cap Cession est bien positionné. Il y a une niche avec des biens rares, mais cela dépend aussi de la région.
L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
Oui tout à fait, l’analyse correspond. Tout ce que nous a expliqué le franchiseur a été vérifié sur le terrain au quotidien.
Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
Non, je n’aurais pas pu mener à bien cette activité seul. Le support de la tête de réseau est précieux. Nous avons beaucoup d’outils, beaucoup d’échanges, et cela permet d’aider à éclaircir certaines situations. Il me semble difficile de se lancer dans la fusion acquisition seul quand on ne vient pas de ce métier, sans aucun support.
Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
Oui sans hésiter, je pense d’ailleurs à élargir mon secteur géographique.
Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
Je leur conseille de se lancer dans cette activité à 100% pour pouvoir véritablement avancer dans l’activité. Il faut être résilient également car les cycles de vente sont parfois long. Il est important de bien s’entendre avec ses homologues sur les secteurs géographiques proches car c’est un véritable atout de pouvoir échanger régulièrement. C’est vraiment un atout d’avoir une synergie avec les secteurs alentours, cela permet d’avoir une vision différente et d’aider aussi à la gestion des affaires de chacun. Il n’y a pas de notion de concurrence entre les franchisés au sein de Cap Cession, les relations sont saines et basées sur la transparence. Il y a beaucoup d’échanges d’information, on connait nos homologues sur toute la France.
Alors si vous aussi vous souhaitez créer une entreprise d'accompagnement à la cession d'entreprise avec une marque engagée au côté des membres de son réseau pour leur permettre de performer, rendez-vous sur la fiche enseigne Cap Cession France pour en savoir plus.