Cap Cession France : « Le réseau est un avantage considérable » (Antoine Pineau, entrepreneur et consultant en transmission d’entreprise)
Antoine Pineau, ancien banquier devenu entrepreneur via la franchise Cap Cession France, partage son parcours et sa transition vers le secteur de la transmission d’entreprise. Il nous dévoile également l'accompagnement précieux de son franchiseur, les défis et réussites de son activité et ses perspectives d’évolution.
CAP CESSION FRANCE
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Antoine Pineau. J’ai exercé en banque pendant une vingtaine d’années et mon dernier poste était directeur de groupe. J’ai eu envie de créer mon propre business et de devenir indépendant. J’ai trouvé opportun de m’orienter vers la transmission d’entreprise, car c’est un secteur très porteur dans lequel il y a encore peu d’acteurs pour accompagner les dirigeants.
Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
J’avais déjà créé une première structure dans le domaine du courtage en financement professionnel. Néanmoins, j’ai senti que les perspectives de développement étaient plus importantes dans le domaine de la cession/acquisition d’entreprises, et c’était également plus en adéquation avec ma volonté, mes diplômes et mon cursus professionnel. Je ne me sentais pas de me lancer seul dans cette activité et le réseau Cap Cession France était vraiment en mesure de m’accompagner sur le lancement et le développement de cette activité sur mon secteur géographique.
J’ai regardé les différents acteurs présents sur le marché, mais je n’ai pas pris contact avec eux. J’ai principalement analysé les acteurs locaux et les réseaux nationaux. J’ai opté pour Cap Cession France, car c’était un réseau récent et très dynamique, le cœur de cible est l’entreprise, ce qui était en phase avec mes attentes.
Étiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
Non, je n’étais pas directement de la profession, mais je travaillais déjà auprès de professionnels. J’ai plutôt réorienté mon cœur de métier auprès de la même cible de clients. J’ai toujours gravité autour de l’entreprise : financement bancaire, financement pur… Le métier de consultant en transmission d’entreprise apporte une vraie valeur ajoutée intellectuelle et il y a un besoin d’accompagnement véritablement important.
Comment avez-vous été accompagné dans votre activité, et l’êtes-vous toujours ?
J’aime beaucoup le réseau Cap Cession France. Ils travaillent en mode « startup », l’équipe dirigeante est accessible et disponible 24h/24, 7j/7 ! Nous nous sentons libres de les contacter, les partenaires du réseau sont nombreux et nous pouvons nous appuyer sur des spécialistes des différents secteurs d’activité. On nous accompagne sur des points très concrets, de A à Z, sur le sourcing ou les perspectives de sortie. L’expérience du réseau est partagée et cela permet à chacun de bénéficier des conseils et de l’expérience des autres.
La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
Oui, tout à fait. La formation initiale permet de balayer entièrement le spectre du métier. Nous commençons par l’aspect théorique et juridique, et ensuite, c'est surtout du « pratico-pratique » : comment fait-on concrètement pour entrer des affaires et réaliser les ventes. La formation n’est pas très longue, mais par la suite, il y a un suivi régulier, des formations en ligne pour se mettre à jour et des réunions mensuelles pour confronter nos expériences et voir comment on évolue avec le réseau.
Votre franchiseur a-t-il véritablement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
Oui. Ils ont toujours fait preuve d’une grande transparence.
Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
Oui, ça se met en place au fur et à mesure. Nous avons des réunions mensuelles, nous avons des échanges de bons procédés, nous pouvons nous appeler mutuellement. On échange plus régulièrement si l'on a des affinités, ou par équivalence d’affaires ou d’expérience.
En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
Oui, tout à fait. L’année N est une année de mise en place et l’année deux est parfaitement en phase avec mes objectifs. Maintenant, je dois pérenniser mon activité et accroitre mon développement.
Quelles actions menez-vous pour développer votre CA et vos clients ?
Principalement du réseautage. Avec mon équipe de chargés d’affaires, nous sommes présents dans plusieurs clubs d’affaires, je travaille beaucoup les réseaux professionnels et je construis un écosystème favorable aux échanges d’affaires composé d’avocats, de notaires, d’experts-comptables et de banquiers.
Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
Oui, le concept est bien positionné sur le cœur de cible : la cession d’entreprises. Il y a un vraiment manque d’accompagnement sur ce point. Bien que certaines professions gravitent autour de la cession (avocats fiscalistes, banquiers, etc.), les chefs d’entreprises sont perdus. Ils ont besoin que l’on prenne en main la cession pour les conseiller, les guider, trouver un acquéreur et faire en sorte que tout se passe au mieux. Cela leur enlève du stress au quotidien, car il ne faut pas oublier qu’ils doivent également gérer leur activité en parallèle.
L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
J’avais déjà conscience qu’il y avait un réel besoin, ayant été dans le domaine bancaire stratégique auparavant. Ce n’est pas évident d’avoir une offre structurée dans ce domaine, et le fait de faire partie d’un réseau aide sur ce point. Il y a un besoin énorme et, de ce fait, les outils et l’offre de Cap Cession France complète bien le « trou dans la raquette » entre la cession de fonds de commerce et les acteurs en immobilier.
Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez dû la créer seul ?
Non, je ne pense pas. Il me semble indispensable d’avoir l’appui d’un réseau national, ne serait-ce que pour trouver des investisseurs et des repreneurs, surtout dans l’Hérault et à Montpellier. Les investisseurs sont bien souvent situés hors du territoire local et souhaitent s’installer dans le sud. Le réseau est donc un avantage considérable.
Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
Oui, je resignerais sans l’ombre d’une hésitation.
Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
C’est un marché en pleine croissance. Je leur conseillerais d’y aller avec une approche de chef d’entreprise, un réseau solide ou bien de prendre le temps de se constituer un vrai réseau et de l’entretenir. Il faut aller à la rencontre de l’équipe dirigeante de Cap Cession et des autres responsables de réseau. Après, c’est une histoire de feeling !
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