« Cuisinella se démarque par la qualité de ses produits et l’entraide qui règne au sein du réseau », Kevin Bourval (concessionnaire Le Chesnay)

Dans quel secteur évoluiez-vous avant d’ouvrir votre magasin Cuisinella ? 

J’étais fonctionnaire de police. J’avais depuis toujours l’ambition de me mettre à mon compte et quand j’ai quitté la police, j’avais en projet d’ouvrir un fast-food à Versailles. Mais les choses ont pris plus de temps que prévu et j’ai finalement décidé de ne pas perdre plus de temps et d’aller de l’avant. Je me suis remis à chercher et je suis tombé totalement par hasard sur Cuisinella. En creusant un peu, je me suis laissé totalement séduire par le concept.

Qu’est-ce qui vous a séduit dans ce concept ?

Absolument tout ! Le concept en lui-même mais aussi l’univers dans lequel le réseau se développe, le fait que tout soit Made in France, le côté familial et enseigne de proximité. J’aime l’idée qu’une petite société ait réussir à grossir ainsi à la seule force de son concept et des compétences mises en œuvre. Et puis, au quotidien, chez Cuisinella, nous sommes proches de la clientèle et, avant même d’ouvrir, je trouvais ça génial ! 

Et maintenant que vous avez ouvert, quel ressenti avez-vous ?

Mes premières impressions étaient les bonnes et se sont confirmées ! Cuisinella se démarque clairement par la qualité de ses produits mais aussi, et surtout, par l’entraide qui règne au sein du réseau, aussi bien entre chefs d’entreprise que de la part des retail managers. Ils sont toujours là pour répondre à la moindre de nos questions. La communication est ultra importante dans le groupe et c’est un vrai plus, surtout pour un jeune patron comme moi, en pleine reconversion professionnelle ! Ma jeunesse me permet d’offrir un regard différent et les plus anciens me partagent leur expérience. C’est très enrichissant !

C’était important, pour vous, d’intégrer un réseau pour réussir votre création d’entreprise ? 

Sur le marché de la cuisine, c’était tout bonnement indispensable ! Je n’ai pas envisagé une seconde me lancer sur le marché de la cuisine sans être accompagné d’un réseau de franchise. Je pense que c’est moins important dans d’autres secteurs, mais sur celui-ci, c’est indispensable à mon avis ! La notoriété de Cuisinella est capitale pour moi.

Vous avez ouvert votre magasin en mai 2022. Quel bilan tirez-vous de cette première année d’activité ?

Les premiers mois ont été un peu compliqués mais la tendance aujourd’hui est nettement meilleure. Le chiffre d’affaires du magasin est en constante progression, la clientèle est présente et je n’ai aucun turn-over dans mes équipes. Je suis donc très satisfait !

Vous n’avez aucun regret d’avoir entamé cette reconversion professionnelle ?

Non, absolument aucun, bien au contraire ! Devenir mon propre patron était mon souhait et je suis allé au bout grâce à l’accompagnement de Cuisinella.

Quel accompagnement le réseau vous a-t-il proposé justement ? 

Dès le départ, Cuisinella m’a aidé à trouver mon local et soutenu dans mes démarches administratives. Le réseau nous aide également au niveau du recrutement, en nous orientant vers des cabinets avec lesquels il a l’habitude de travailler. Parallèlement à tout ça, il y a la formation qui se met en place. Pendant environ six mois, j’ai alterné un mois en magasin, avec un chef d’entreprise qui travaille dans le réseau depuis vingt ans, et deux semaines au siège à Colmar pour toute la partie théorique. Cela permet de toucher à tout et d’aborder tous les points qu’on doit absolument connaître avant d’ouvrir notre magasin.

Evidemment, quand on devient patron, on continue aussi à se former sur le tas ! D’ailleurs, à l’ouverture, un formateur est présent à nos côtés pour suivre l’évolution et nous accompagner sur toutes les nouvelles découvertes, comme les premières ventes, les premières livraisons ou les premiers SAV. C’est très rassurant ! 

Quel conseil donneriez-vous à un porteur de projet qui hésite à se lancer au vu du contexte économique actuel ? 

Je lui dirais de se rappeler qu’il n’y a pas de bon moment ! Il y aura toujours quelque chose qui viendra se mettre sur son chemin. Il y a eu le Covid, les restrictions, l’inflation. On ne sait pas de quoi demain sera fait au final ! Je pense que qui ne tente rien n’a rien. Donc, si le projet est bien ficelé et qu’on y croit, il faut y aller. Sans pour autant foncer tête baissée. Il faut bien analyser le marché, s’entourer des bonnes personnes et se lancer ! 

Vous voulez suivre ce conseil et, comme Kevin Bourval, vous lancer sur le marché de la cuisine avec cette enseigne ? Rendez-vous sur la fiche personnalisée et découvrez comment ouvrir un magasin Cuisinella ⇩