« Ce que l’on a pu me dire à propos de Cap Cession s’est entièrement confirmé », Claude Dupui, Responsable de Réseau Cap Cession France Saône et Loire, Ain, Jura, Côte d’Or

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? 

Je suis titulaire d’un master en gestion de patrimoine, et j’ai exercé pendant 25 ans ce métier. Depuis 2010, j’ai créé ma propre structure et je suis indépendant. J’ai rejoint Cap Cession France en tant que Franchisé en 2021. 

Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ? 

Cap Cession m’a été recommandé par un confrère qui fait partie du réseau. Nous sommes dans une période où les baby-boomers vont partir à la retraite, et par conséquent cela concerne aussi les chefs d’entreprises. Certains dirigeants ne seront malheureusement pas accompagnés dans la transmission de leur société, et je trouve qu’il est important de ne pas négliger cette étape. Je souhaitais pouvoir accompagner les dirigeants pour que la transmission se déroule dans les meilleures conditions, pour le dirigeant comme pour les salariés, et permettre à l’entreprise de continuer son activité afin de préserver l’écosystème local. 

Je n’ai pas consulté les concurrents de Cap Cession. 

Étiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ? 

Non, je n’étais pas dans la profession avant de me lancer avec Cap Cession. 

Le conseil en gestion de patrimoine est de plus en plus réglementé et administratif. Je souhaitais me développer au sein d’une activité où le contact et les relations humaines sont primordiales, tout en exerçant une activité intéressante et enrichissante. 

Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ? 

Je maitrisais la partie « relations commerciales », mais il me manquait l’aspect technique du métier. Cap Cession m’a accompagné et m’accompagne toujours au travers de visios de formation et d’échanges réguliers. Les formations m’ont permis de progresser rapidement, à mon rythme. Je suis monté en puissance techniquement mais je n’ai jamais été « bousculé », ils se sont adaptés à mon développement. 

La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ? 

Le contenu de la formation initiale m’a permis de démarrer l’activité dans de bonnes conditions. C’était en adéquation avec ce que j’attendais. Par rapport à l’étendue des compétences à maitriser dans ce métier, on ne peut pas tout apprendre d’un coup, mais les bases acquises en formation m’ont permis de débuter mon activité et de me confronter à la réalité terrain. Lors de la formation initiale, on m’a donné un plan d’action, des étapes et des objectifs. Cela met une forme de pression, mais j’ai pu avancer à mon rythme. 

Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ? 

Oui, et même plus encore. Je sais que je peux compter sur eux, je peux leur poser des questions et ils sont là pour m’accompagner quelle que soit la problématique. 

Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ? 

Cela dépend des affinités et des affaires que nous avons à traiter ensemble. Nous sommes géographiquement éloignés, cela ne permet pas toujours de développer des relations entre nous.

En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ? 

Je me fixe un objectif de chiffre d’affaires pour 2024. Les cycles de vente sont longs, il faut donc se fixer d’autres objectif à plus court terme. Je continue de me former sur certains aspects métier et mes affaires avancent. 

Quelles actions menez-vous pour développer votre CA et vos clients ? 

Je développe mon portefeuille d’affaires principalement grâce aux clubs d’affaires et aux réseaux business. Je suis membre de plusieurs réseaux qui m’apportent régulièrement des contacts pour développer mon portefeuille. 

Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ? 

Oui, il y a beaucoup d’entreprises à vendre et beaucoup de dirigeants ont besoin d’aide dans la transmission de leur société. Il y a encore peu de concurrents directs sur ce marché.

L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ? 

Ce que l’on a pu me dire à propos de Cap Cession s’est entièrement confirmé : un accompagnement de proximité et individualisé, de l’aide sur les dossiers au fur-et-à-mesure, la mise à disposition des logiciels, etc. 

Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez dû la créer seul ? 

Non pas du tout. Je n’avais pas les compétences, les process. L’accompagnement de Cap Cession est nécessaire et indispensable. 

Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ? 

Oui, et je signerais plus tôt !

Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?

Notre métier prend du temps, les cycles de vente sont longs. Il faut prévoir de la trésorerie pour vivre sur une année, être travailleur, se développer par étape et les efforts porteront leurs fruits. Le marché est dynamique, les clients sont là.

Si vous aussi vous souhaitez devenir consultant en transmission et cession d’entreprise avec une marque leader de son secteur, rendez-vous sur la fiche enseigne Cap Cession France pour en savoir plus.