« Il y a en effet dans notre groupement un réel esprit réseau », Stéphane Lepied, licencié LE TUC IMMO à Calvaire-sur-Mer
Parce que les membres du réseau sont les meilleurs ambassadeurs de l’enseigne, LE TUC IMMO donne la parole à Stéphane Lepied, à la tête de l’agence immobilière de Calvaire-sur-Mer, dans le Var, depuis 2010. Interview.
Le TUC IMMO
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Stéphane Lepied, né en 1958 à Chantilly dans l’Oise, résidant dans le Var depuis 1964, commerçant de 1978 à 2010, avant d’entamer une carrière dans l’immobilier. J’ai créé une agence à Marrakech au Maroc, que j’ai exploitée 4 ans, avant d’exercer définitivement en France.
Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
J’ai créé mon activité avec le support d’un franchiseur pour avoir une assistance permanente, ce qui me semble nécessaire et indispensable dans une nouvelle activité, et particulièrement dans l’immobilier, ou la part du juridique est importante.
Après avoir consulté les différentes enseignes absentes dans ma commune, j’ai opté pour le Groupe Éric Mey, d’une part parce qu’il n’y avait pas de droits d’entrée (certaines enseignes me demandaient plus de 35.000€), mais surtout parce que le Groupe Éric Mey est un groupe familial dans lequel je me suis tout de suite senti à l’aise.
Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
Comme je le disais précédemment j’avais créé une agence immobilière au Maroc, ou aucun diplôme n’est requis, et si c’est lors de cette expérience que j’ai acquis la certitude d’avoir une passion pour ce métier, ce n’est pas là que j’en ai appris les règles (par exemple, le mandat de vente n’était pas obligatoire.).
C’est après des années de commerces que j’ai décidé de changer d’orientation. Mon activité devenait de plus en plus pénible et de moins en moins rentable. Mon activité secondaire de marchand de biens m’a tout doucement orientée vers le métier de l’immobilier.
Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
L’accompagnement se fait au quotidien, grâce à une équipe à l’écoute et toujours de bons conseils. Les formations régulières, en visio conférence ou en présentiel au siège, sont importantes également.
La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
Dans notre groupement, la formation, est appelée « stage d’intégration », j’aime cette appellation, car elle désigne à la fois une formation permettant de démarrer dans la profession, en vous inculquant les rudiments (le reste vient sur le tas), mais elle sert également à vous intégrer au groupe, à vous faire « entrer dans la famille ».
Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
Non seulement mon franchiseur a respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé, mais il va souvent au-delà, toujours présent en cas de difficulté, toujours à l’écoute, c’est un soutien important.
Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
Il y a en effet dans notre groupement un réel esprit réseau ; Les réunions annuelles avec la totalité des franchisés ou les réunions régionales le démontrent par leur convivialité. Les échanges sont fréquents, et bénéfiques. Je l’ai dit, je le répète : c’est une grande famille !
En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
Mes objectifs ont été atteints en termes de chiffre d’affaires, ils ont même dépassé mes espérances certaines années.
Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
Le développement du CA et de la clientèle passe par un travail quotidien. Pour le CA, il s’agit surtout d’une recherche constante de biens à vendre, qui soient de qualité et surtout à des prix raisonnables. Beaucoup de biens sur mon secteur sont surévalués et je suis heureux lorsque mes clients me disent : on vient chez vous car ici, on sait que vos produits ne sont pas surévalués !
Quant à la clientèle, le bouche à oreille et les recommandations sont de bons facteurs de développement, ainsi que la communication, les mails ou sms à l’occasion des fêtes, la présence sur les réseaux sociaux, etc…
Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
Oui. Tout à fait.
L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
Non seulement elle corrobore mon vécu sur le terrain, mais elle dépasse même mes espérances.
Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez dû la créer seul ?
Oui, certainement, d’autant que j’avais déjà vécu l’expérience de la création d’une agence indépendante à l’étranger. Mais je ne regrette pas d’avoir adhéré à une franchise, car cela simplifie bien des choses.
Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
Les yeux fermés ! Et ce, pour plusieurs raisons : le côté convivial qui a son importance, mais aussi et surtout un taux de commissionnement honnête et des cotisations raisonnables.
Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
De nous rejoindre, à la seule condition d’aimer ce métier, et non pas de nous rejoindre avec comme seul objectif l’appât du gain, et surtout de rester honnête et faire honneur à la profession, si souvent critiquée.
Alors si vous aussi vous souhaitez ouvrir une agence immobilière avec un groupe familial ù règne un véritable esprit de réseau, rendez-vous sur la fiche enseigne LE TUC IMMO pour en savoir plus.