« Planètemômes est un groupe très solidaire », Sophie CHAPTAL, franchisée à Essonne
Après avoir enseigné la physique-chimie, Sophie CHAPTAL décide de se reconvertir professionnellement en rejoignant l'équipe de la franchise Planètemômes dans le département de l’Essonne. Dans une interview, elle partage son parcours entrepreneurial et nous dévoile les avantages de ce réseau de renom, spécialisé dans les spectacles ludiques et interactifs en milieu scolaire.
PLANÈTEMÔMES
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
J’ai 50 ans, je suis une ancienne professeure de physique chimie, maman de 3 enfants qui sont désormais adultes.
Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ?
Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ? J’ai trouvé le franchiseur Planètemômes par hasard, et j’ai eu envie de me lancer dans l’aventure. Je n’ai pas cherché d’autres concurrents.
Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
Oui et non. J’étais enseignante, mais j’avais déjà quitté cette profession avant de croiser Planètemômes. C’est un métier différent de celui de professeur, avec un côté spectacle, un aspect commercial également, mais pour moi cela reste avant tout une autre façon d’enseigner, avec de l’autonomie et de la liberté, et c’est justement ce qui m’a plu et attiré vers ce métier.
Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
Planètemômes est un groupe très solidaire : quand on débute, on a une courte formation, mais on peut appeler les autres franchisés plus expérimentés au moindre doute, au moindre problème, à la moindre question. Chacun d’entre nous a à cœur d’accueillir les nouveaux et de les aider au mieux à démarrer leur activité.
La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
Oui, tout à fait. La formation est rapide mais très complète, et touche tous les aspects de ce métier. Et aucune question ne reste sans réponse.
Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
Complètement ! Il y a un respect mutuel entre le franchiseur et le franchisé.
Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
Absolument ! Nous nous croisons rarement physiquement : au minimum une fois par an, lors du congrès de juillet, mais nous avons un groupe WhatsApp qui permet à chacun de partager son expérience, ou de demander de l’aide en cas de difficulté. Et selon les affinités, nous avons des contacts par téléphone avec les collègues dont nous nous sentons proches.
En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
Oui, selon les années, mes objectifs sont atteints, ou même dépassés.
Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
Il faut chaque année contacter les écoles de son secteur, par voie postale, par mail, par téléphone. Ce travail se fait essentiellement en juin et septembre, mais reste présent à petites doses tout au long de l’année. Et surtout il ne faut rien lâcher, ne pas se décourager, jusqu’à remplir son agenda à hauteur de ses objectifs. En procédant ainsi, on y arrive forcément.
Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
Complètement. Planètemômes sait évoluer et se renouveler, et les écoles sont ravies de nos propositions.
L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
J’ai suivi mon instinct, et mon vécu sur le terrain est au-delà de ce que j’avais pu imaginer. Je présente des spectacles aux enfants, qui leur permettent d’apprendre et de découvrir en s’émerveillant. Je vois leurs yeux s’agrandir d’étonnement, ou briller de plaisir. Ils chantent, dansent, applaudissent, et en redemandent. Aucune « analyse » ne permet de quantifier la joie que cela procure de les voir ainsi chaque jour.
Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
Bien sûr que non. Créer des spectacles audiovisuels est un métier complexe qu’on ne peut faire seul. Notre métier consiste à les mettre en scène et à les présenter en école. On peut néanmoins participer à la création des films que l’on présente, et on se rend compte alors de la complexité de cette tâche.
Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
Sans aucune hésitation ! Même si à l’époque où j’ai signé, j’avais un peu peur, car c’est forcément effrayant de se lancer, c’est une des meilleures décisions de ma vie.
Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
D’abord venez nous voir, nous, les franchisés en activité. Venez en école voir comment se déroulent les spectacles. Voyez plusieurs franchisés, car nous avons chacun notre personnalité et nous présentons nos spectacles de façon différentes. Certains sont plus orientés « spectacle », et d’autres, comme moi, sont plus orientés « enseignement ». Et voyez à qui vous vous identifiez le plus. Et si votre cœur vous dit d’y aller, faites-vous confiance et lancez-vous ! Vous ne serez jamais seul, dans ce groupe. Les premiers mois, c’est du travail, il ne faut rien lâcher, mais très vite on est récompensé par les sourires et les applaudissements des enfants, et les compliments et remerciement des enseignant(e)s. Vous connaissez beaucoup de métiers, vous, où l’on vous dit quasi-quotidiennement que ce que vous faites est excellent ?
Si comme Sophie CHAPTAL, vous souhaitez rejoindre l’aventure Planètemômes, rendez-vous sur leur fiche franchise et demandez la documentation gratuite.