Portrait de Juliette Dos Santos : franchisée DEFIM et cheffe d’orchestre de la rénovation énergétique
Ancienne agent immobilier, Juliette Dos Santos a trouvé dans le diagnostic immobilier une nouvelle manière de servir les projets de vie de ses clients. Aujourd’hui à la tête du cabinet DEFIM Mâcon, elle incarne une franchise où expertise rime avec engagement.

De l’immobilier à l’expertise technique
Après plusieurs années comme agent immobilier, Juliette ressent le besoin d’aller plus loin dans l’accompagnement de ses clients. L’échange devient impersonnel, le métier perd son âme. « Un mail, un oui ou un non… et c’est tout. »
Elle décide alors de se réinventer et s’oriente vers un univers qui l’intrigue : le diagnostic immobilier. Une discipline rigoureuse, où chaque détail compte, où il faut comprendre les pathologies du bâti et maîtriser l’audit énergétique.
Un démarrage sans filet, puis une révélation
Sans jamais avoir réalisé un diagnostic, elle se lance. La formation théorique lui donne les bases, mais c’est sur le terrain que tout se joue. « La pratique manque cruellement dans notre métier », confie-t-elle. Heureusement, elle intègre un cabinet qui lui permet de s’immerger, de gagner en confiance, et surtout, d’aimer ce qu’elle fait.
Un métier exigeant mais profondément utile
Juliette ne ménage pas ses efforts. « On est H24 au boulot », dit sa fille Lou avec un sourire. Et pourtant, elle y trouve du sens. Une intervention l’a marquée : une mère seule avec son enfant dans un logement insalubre. « On côtoie la misère trop souvent, mais j’aime de plus en plus mon métier grâce à l’audit. On alerte, on rassure, on accompagne. »
Aujourd’hui, elle ne se contente plus de diagnostiquer : elle conseille, scénarise les rénovations, et devient une véritable cheffe d’orchestre de la transition énergétique.
Une franchise qui mise sur l’humain
Avec DEFIM, Juliette a trouvé bien plus qu’un cadre professionnel : « Bienveillance. » C’est le mot qui lui vient naturellement pour décrire l’enseigne. « On sait travailler. On est formés en permanence. Aucun diagnostiqueur ne fait d’erreur par complaisance… »