Ludovic Oliveira a rejoint le réseau Aximotravo voici près d'un an. Pour Toute la franchise, il revient sur son parcours et son intégration au sein de l'enseigne de courtage en travaux.
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Ludovic Oliveira : Je suis natif de Limoges, ville dans laquelle j’ai toujours vécu, excepté durant mes études que j’ai effectuées à Bordeaux (Master 1 en Management et Développement d’Entreprises). Je suis une personne simple, passionné notamment par le cyclisme et tout ce qui touche à l’aménagement et la décoration de l’habitat.
TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ?
LO : J’ai fait ce choix par souci d’intégrer un réseau et d’évoluer au sein d’une structure dynamique. Il était important pour moi de favoriser le partage des connaissances et des expériences entre licenciés. De plus, je souhaitais être accompagné sur mon développement car le métier de courtier en travaux est truffé de spécificités qui ne s’inventent pas. Il était donc important pour moi d’être entouré de personnes d’expérience dans ce secteur d’activité.
TLF : Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
LO : Je n’étais pas du tout de la profession auparavant, je gérai une société familiale de production dans l’industrie céramique. Le marché était en fin de vie et j’ai beaucoup travaillé pour peu de réussite. Mais je pense que rien n’arrive par hasard. Mon projet a mûri pendant 3 ans, et le fait d’avoir déjà évolué dans des sociétés de courtage en début de carrière (courtage en crédits, leasing) a beaucoup joué dans ma décision. Je souhaitais également travailler dans un secteur dynamique, où il y a un vrai volume d’activité. Le monde du BTP est vaste, les gens auront toujours besoin de se loger et de faire évoluer leur habitat.
TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
LO : J’ai reçu une formation initiale de base qui m’a permis de démarrer le développement de mon réseau d’entreprises. Cette première étape est essentielle à la future réussite de l’activité. J’ai pu également être formé sur les aides en matière de rénovation énergétique. Au fur et à mesure de mon évolution, j’ai régulièrement rencontré mon franchiseur dans le cadre de formations plus spécifiques « à la carte » car au niveau de la franchise, ils ont bien compris que les licenciés évoluent chacun à leur rythme et qu’ils n’ont pas tous les mêmes besoins. Enfin nous bénéficions chez Aximotravo d’un logiciel de courtage très bien conçu qui nous fait gagner du temps.
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
LO : Complètement. Pour preuve, au bout de 2 mois d’activité j’avais pu constituer un réseau d’une vingtaine d’entreprises déjà et aujourd’hui j’ai une cinquantaine d’entreprises de référencées. Des premiers chantiers se sont déjà terminés, d’autres vont démarrer… Le message et l’offre Aximotravo passent bien auprès des entreprises du BTP, et également auprès des clients grâce au protocole d’accompagnement et de sécurisation.
TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
LO : Oui, car il a su m’apporter l’assistance dont j’avais besoin à des moments clés de mon développement, et il me laisse de la liberté et de l’autonomie dans mes prises de décision.
TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
LO : La franchise est en plein essor notamment en nombre de licenciés. J’ai pu rencontrer d’autres franchisés lors de la formation initiale et j’ai des contacts téléphoniques réguliers avec certains. Il est très intéressant de partager notre vécu et nous avons des manières de développer notre activité qui peuvent être bien différentes. Ce qui est intéressant car cela nous permet de sans cesse nous remettre en question et ainsi d’évoluer plus vite.
TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
LO : Je ne m’étais pas fixé d’objectif précis la première année, bien conscient que mon développement allait être moins rapide que certains licenciés qui étaient déjà du monde du bâtiment. Malgré tout, je me rends compte aujourd’hui qu’au bout de 5 mois à temps plein sur le terrain, les opportunités de travail sont nombreuses (je gère en ce moment une bonne trentaine de projets potentiels). Mes premiers clients commencent déjà à me recommander à leur entourage. A voir le démarrage, cela ne peut que s’accélérer dans les mois à venir et actuellement en Micro-entreprise je prépare déjà mon passage en SASU…
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
LO : Je me suis réellement investi en termes d’actions de communication depuis mon démarrage. En effet, le fait de ne pas payer de droits d’entrée auprès de la franchise m’a permis de dégager un budget essentiel pour me faire connaître localement. J’ai participé au Salon de l’Habitat sur Limoges en Mars dernier, je serai de nouveau exposant en septembre prochain. Je fais parti d’un groupement d’entreprises structuré qui me permet également d’étendre mon réseau de prescripteurs. Je travaille en partenariat avec des agences immobilières. J’ai fait différentes campagnes de communication (écrans digitaux, réseaux sociaux…). J’ai mis en avant des actions de sponsoring (Limoges Handball et le Comité Miss Haute-Vienne pour Miss France). Je participe régulièrement à des manifestations organisées localement avec toujours pour objectif d’étendre mon réseau professionnel.
TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
LO : Il est bien positionné car répond à une réelle demande. Aujourd’hui les entreprises du bâtiment sont nombreuses et la concurrence est rude. Il est difficile pour le consommateur de savoir à qui faire confiance. Nous connaissons nos entreprises et sommes capables de détecter les entreprises idéales pour chaque projet de travaux. Lorsque plusieurs postes travaux sont concernés, les clients sont souvent perdus car ne sont pas du métier. Nous avons un rôle de conseil et d’accompagnement. Nous nous engageons sur une date rapide de remise des devis et grâce à la sécurisation d’acompte, nous leur permettons de vivre sereinement leurs chantiers. Et nous les suivons jusqu’à la réception des travaux.
TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
LO : Oui car sans l’aide du franchiseur, j’aurai certainement fait des erreurs, j’aurai perdu beaucoup de temps dans mon développement ce qui aurait pu être fatal pour l’avenir.
TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
LO : Très sincèrement, je ne pense pas. Le courtage en travaux est un domaine qui nécessite de la connaissance et de l’organisation. Je n’avais pas la connaissance.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
LO : Bien sûr que oui ! Si tout était à refaire, je ne changerais rien. Le franchiseur est accessible, il se met sur un pied d’égalité avec ses franchisés car nous sommes tous des chefs d’entreprises et la franchise a compris que nous avons besoin les uns les autres pour avancer.
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
LO : Je leur dirais qu’intégrer Aximotravo aujourd’hui c’est un choix d’avenir. Le développement de la franchise est très bien organisé. L’esprit de cohésion nous rend plus fort dans notre activité. Je crois en l’image véhiculée par le franchiseur, je la mets en avant tous les jours. C’est pour moi une fierté de faire partie du réseau et plusieurs axes de développement sont déjà dans les tuyaux côté franchiseur.
J’ai la certitude qu’Aximotravo va révolutionner le monde du courtage en travaux ! Je travaille tous les jours pour y participer…