INTEGRATION :
Toute-la-franchise.com : Pouvez-vous vous présenter ?
Eupremio LEOBILLA, Commercial en assurance vie pendant 7 ans et dirigeant de société pendant 6ans.
TLF : Comment êtes-vous entré en contact avec votre enseigne ?
E.L. : Par internet
TLF : Comment s’est déroulée la période entre votre premier contact et vos débuts ? Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ?
E.L. : Bien. C’est un métier où on est seul en permanence, faire partie d’une franchise nous permet d’être en contact soit avec le franchiseur ou les autre franchisés.
TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
E.L. : Oui
TLF : Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ? Si oui, pourquoi avoir choisi cette enseigne ?
E.L. : Oui. Il a été le plus rapide à répondre et surtout le seul à envoyer une documentation complète de son enseigne.
TLF : Quels sont les services que vous apporte votre franchiseur au démarrage de votre activité ?
E.L. : Une formation et une information complète concernant cette activité et une aide téléphonique sur les premiers diagnostics en cas de problème.
TLF : Etiez-vous de la « profession » avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
E.L. : Non. La profession me semblait intéressante et convenir à mes compétences professionnelles et personnelles.
ACTIVITE :
TLF : Avez-vous besoin de votre franchiseur dans le cadre de votre activité ? Répond-il à votre attente ?
E.L. : Aujourd’hui de moins en moins, mais est toujours disponible téléphoniquement.
TLF : Comment se passe les relations avec vos collègues franchisés ?
E.L. : Très bien
TLF : L’esprit « réseau » est il réellement effectif ?
E.L. : Je suis en contact régulièrement avec plusieurs franchisés, d’autres n’hésitent pas à m’appeler pour me demander conseil et j’ai fait venir pendant deux semaines un franchisé d’une commune limitrophe pour lui apporter une certaine confiance sur le terrain à la fin de sa formation
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
E.L. : Oui, mais pour démarrer son activité, cela nécessite un travail commercial énorme.
TLF : En termes de Chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
E.L. : Oui, j’ai atteint dès le troisième mois un chiffre d’affaire que beaucoup de diagnostiqueurs aimeraient réaliser.
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
E.L. : Commercial et relationnel à tout moment !
TLF : Avec le recul, le concept est il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
E.L. : Malheureusement, le concept de diagnostic immobilier n’est aujourd’hui pas très bien positionné sur un marché de l’immobilier en pleine crise.
TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore -t-elle avec votre vécu sur le terrain ?
E.L. : Oui cela correspond à l’idée que je m’étais faite de ce métier, toutefois l’aspect technique est plus difficile que je ne l’avais imaginé.
TLF : Auriez vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
E.L. : Je pense que oui car j’aurais pu passer mes formations en indépendant, mais j’ai préféré faire partie d’un réseau sur des aspects relationnels. Malgré tout, on est quand même seul sur le terrain.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
E.L. : Oui
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
E.L. : C’est un métier de technicien mais pour réussir sur un marché en crise il faut avoir soit des connaissances chez les agents immobiliers soit de très grosses compétences commerciales et surtout du courage et du tempérament.
Toute-la-franchise.com : Pouvez-vous vous présenter ?
Eupremio LEOBILLA, Commercial en assurance vie pendant 7 ans et dirigeant de société pendant 6ans.
TLF : Comment êtes-vous entré en contact avec votre enseigne ?
E.L. : Par internet
TLF : Comment s’est déroulée la période entre votre premier contact et vos débuts ? Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ?
E.L. : Bien. C’est un métier où on est seul en permanence, faire partie d’une franchise nous permet d’être en contact soit avec le franchiseur ou les autre franchisés.
TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
E.L. : Oui
TLF : Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ? Si oui, pourquoi avoir choisi cette enseigne ?
E.L. : Oui. Il a été le plus rapide à répondre et surtout le seul à envoyer une documentation complète de son enseigne.
TLF : Quels sont les services que vous apporte votre franchiseur au démarrage de votre activité ?
E.L. : Une formation et une information complète concernant cette activité et une aide téléphonique sur les premiers diagnostics en cas de problème.
TLF : Etiez-vous de la « profession » avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
E.L. : Non. La profession me semblait intéressante et convenir à mes compétences professionnelles et personnelles.
ACTIVITE :
TLF : Avez-vous besoin de votre franchiseur dans le cadre de votre activité ? Répond-il à votre attente ?
E.L. : Aujourd’hui de moins en moins, mais est toujours disponible téléphoniquement.
TLF : Comment se passe les relations avec vos collègues franchisés ?
E.L. : Très bien
TLF : L’esprit « réseau » est il réellement effectif ?
E.L. : Je suis en contact régulièrement avec plusieurs franchisés, d’autres n’hésitent pas à m’appeler pour me demander conseil et j’ai fait venir pendant deux semaines un franchisé d’une commune limitrophe pour lui apporter une certaine confiance sur le terrain à la fin de sa formation
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
E.L. : Oui, mais pour démarrer son activité, cela nécessite un travail commercial énorme.
TLF : En termes de Chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
E.L. : Oui, j’ai atteint dès le troisième mois un chiffre d’affaire que beaucoup de diagnostiqueurs aimeraient réaliser.
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
E.L. : Commercial et relationnel à tout moment !
TLF : Avec le recul, le concept est il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
E.L. : Malheureusement, le concept de diagnostic immobilier n’est aujourd’hui pas très bien positionné sur un marché de l’immobilier en pleine crise.
TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore -t-elle avec votre vécu sur le terrain ?
E.L. : Oui cela correspond à l’idée que je m’étais faite de ce métier, toutefois l’aspect technique est plus difficile que je ne l’avais imaginé.
TLF : Auriez vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
E.L. : Je pense que oui car j’aurais pu passer mes formations en indépendant, mais j’ai préféré faire partie d’un réseau sur des aspects relationnels. Malgré tout, on est quand même seul sur le terrain.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
E.L. : Oui
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
E.L. : C’est un métier de technicien mais pour réussir sur un marché en crise il faut avoir soit des connaissances chez les agents immobiliers soit de très grosses compétences commerciales et surtout du courage et du tempérament.