Thomas Lacôte, franchisé Passtime dans l’Allier, témoigne de son parcours
Agé de 38 ans, Thomas Lacôte a rejoint le réseau Passtime dans l’Allier il y a un peu plus d’un an. Cet ancien salarié du secteur agro-alimentaire souhaitait depuis longtemps se lancer dans la création d’entreprise « sans toutefois oser franchir le pas ». Quand il a appris que la franchise Passtime de son département allait être à reprendre, il a « senti que c’était le bon moment pour se lancer ». |
Il était déjà utilisateur du guide et connaissait donc bien le concept du groupe. Lors de sa première rencontre avec le réseau, il avoue que, sans même s’être intéressé à la concurrence, sa « décision était déjà prise et [qu’il] n’attendai[t] plus que le feu vert du franchiseur ».
Un franchiseur qui lui a tout appris, puisque le nouveau franchisé n’avait « aucune expérience dans le domaine commercial ». « Je me suis laissé guider par l’expérience de l’équipe du réseau, explique-t-il. Et j’ai mis les conseils en pratique. » La stratégie semble payante puisque Thomas Lacôte a atteint les objectifs qu’il s’était fixés dès la première année de commercialisation, « et les deux premiers mois de cette année sont en progression par rapport à l’an dernier », se réjouit-il.
Pour lui, plusieurs facteurs contribuent à une telle réussite : la mise à disposition de nombreux outils, l’échange régulier avec les autres franchisés, les rencontres annuelles, l’appui du réseau mais surtout le concept en lui-même. « Le rapport gagnant/gagnant véhiculé par le concept Passtime séduit beaucoup, car tout le monde y trouve son compte (Clients et Partenaires) », explique le franchisé qui se félicite également d’exercer « une activité plaisante, qui permet de rencontrer des gens, [de vivre] des journées […] différentes et [de] gérer son emploi du temps ».