Aurélie Billard-Ricordel, franchisée Passtime à Orléans, revient sur son intégration dans le réseau
A 30 ans, Aurélie Billard-Ricordel, maman de deux enfants, est issue du secteur du tourisme. Durant dix ans, elle a « beaucoup été en contact avec des restaurateurs et des acteurs des loisirs de [sa] région ». Quand elle a décidé de changer de département pour suivre son conjoint, elle a écumé les sites d’emploi et est tombée par hasard sur le réseau de Passtime. « J’ai été totalement convaincue par le concept, le secteur d’Orléans était libre, c’était parfait ! » se réjouit-elle. |
La rencontre initiale l’a confortée dans son choix : « Je me suis sentie très vite très à l’aise avec les franchiseurs, dans un climat convivial mais très professionnel, et ai pu avoir les réponses à toutes les questions que je me posais », explique-elle. Même si elle n’a « rien vu de comparable » au niveau de la concurrence, elle a pris le temps de contacter les franchisés en activité et a passé « le reste du temps à chercher un financement (prêt partiel) ».
Aurélie Billard-Ricordel estime que la mise en place des deux formations initiales permet de « donner un fil conducteur à suivre pour [se] lancer beaucoup plus sereinement ». Les échanges avec le reste du réseau sont également importants, notamment grâce à la présence d’ « une plateforme avec un forum ».
Enfin, « il y a les audio-conférences très régulières qui sont indispensables pour réussir à garder le cap et atteindre nos objectifs ! » Des objectifs que la franchisée orléanaise de Passtime a atteint sans souci, grâce à l’accompagnement important du réseau. Pour elle, « dans le contexte actuel, avec le pouvoir d’achat qui n’en finit pas de baisser, […] le concept est extrêmement bien place sur le marché ». Mais elle estime qu’il faudra peut-être se tenir « prêts à faire évoluer le concept si cela s’avérait nécessaire », car la concurrence reste à surveiller.
Avoir rejoint l'enseigne Passtime reste aujourd’hui pour elle une grande satisfaction car son activité lui « permet de bien gagner sa vie tout en ayant suffisamment de temps à consacrer à sa famille ». Elle lance même un appel aux créateurs d’entreprise intéressés par le concept : « Si vous aimez le contact humain, que vous êtes organisé et audacieux, alors n’hésitez pas à vous lancer dans l’aventure tant qu’il y a encore des secteurs de libre ! »