Laforêt ouvre une nouvelle franchise à Champigny sur Marne
Un nouveau franchisé vient de rejoindre l’enseigne dans le Val de Marne. Cette ouverture intervient alors que le groupe vient de publier son dernier baromètre, montrant que le marché immobilier ancien connaît une nette reprise.
Alors que le dernier baromètre Laforêt montre une nette reprise du marché immobilier, le réseau annonce l’ouverture d’une nouvelle agence dans le Val de Marne. C’est à Champigny sur Marne que Frédéric Dubois a choisi de se lancer dans l’immobilier. Cet ancien directeur commercial puis président d’une société de conseil marketing et commercial a décidé de donner une nouvelle dimension à sa carrière professionnelle en ouvrant une agence immobilière.
Il a opté pour une franchise Laforêt, conscient du potentiel offert par un réseau solidement ancré dans le paysage immobilier. Son agence, située près de la place Lénine, bénéficiera en outre d’une très large visibilité.
Cette ouverture intervient alors que le groupe vient de publier les résultats de son dernier baromètre, mettant en avant la reprise du marché de l’immobilier ancien. « Plusieurs facteurs conjoncturels se conjuguent pour expliquer cette situation : la démographie, avec une population française en augmentation constante ; l’évolution de la structure des foyers, avec la progression du nombre de familles recomposées et monoparentales, qui engendre de nouveaux besoins en logement ; enfin, la perspective d’une retraite insuffisante, qui encourage les Français à investir dans la pierre pour se préparer un complément de revenus », explique Yann Jehanno, directeur exécutif du réseau Laforêt, qui précise que « la concurrence, le faible niveau de l’offre de biens à vendre, le redressement des prix et les taux d’intérêt historiquement bas » incitent également les acquéreurs à prendre rapidement leur décision.
Une décision pour laquelle ils sont moins enclins à négocier qu’il y a quelques mois puisque la moyenne nationale fait aujourd’hui état d’un écart de 4,9% entre le prix affiché et le montant effectif de la transaction, contre 5,1% au trimestre dernier. « Qu’il s’agisse des acquéreurs ou des vendeurs, chacun se veut plus pragmatique, affichant un certain réalisme par rapport aux caractéristiques du marché, résume le directeur exécutif du groupe. Ainsi, les premiers sont moins opportunistes, tandis que les seconds contiennent leurs prétentions. »
