Ouvrir son magasin de cuisine ou reprendre une concession ? Le point avec Arthur Bonnet
Se mettre à son compte, dans l’univers de la cuisine comme ailleurs, implique un premier choix, de taille : créer son propre magasin ou en racheter un déjà existant. Chez Arthur Bonnet, les deux options sont possibles, chacune avec ses caractéristiques propres.
Si la création pure d’un magasin Arthur Bonnet offre davantage de libertés, tant dans l’agencement que l’organisation, le rachat d’un point de vente existant permet de profiter d’une clientèle déjà installée et d’une notoriété qui n’est plus à faire. Ce ne sont cependant pas les seuls éléments à prendre en compte avant de se décider entre l’une ou l’autre de ces solutions.
Création ou reprise : tout dépend de l’expérience et du profil
Le parcours professionnel antérieur du candidat joue bien souvent un rôle capital dans le choix entre création ou reprise de magasin. Un professionnel issu du monde la cuisine optera plus facilement pour l’ouverture d’un magasin, tandis qu’un salarié en reconversion professionnelle, qui vient d’un univers totalement extérieur, sera tournera plus facilement vers un rachat. Les concessionnaires Arthur Bonnet d’Angers n’ont ainsi pas hésité à créer leur propre magasin, lorsqu’après plusieurs années passées à vendre des cuisines sur les salons, ils ont choisi de poser leurs valises. L’expérience acquise leur a permis de démarrer immédiatement leur activité avec grand succès dans leur nouveau magasin.
La reprise, elle, s’adresse souvent davantage à des candidats n’ayant aucune expérience dans le milieu « car elle permet d’ouvrir un magasin tout en bénéficiant de sa notoriété acquise ainsi que d’un portefeuille clients et d’une équipe de vente déjà constitués ». Mais elle s’adresse également à des salariés du magasin qui est à vendre, à d’autres concessionnaires du réseau ou encore aux enfants des chefs d’entreprise en place. Le magasin Arthur Bonnet de Montélimar a ainsi été racheté par les concessionnaires de Nîmes et Alès au moment du départ en retraite des dirigeants, tandis que celui de Céret a été racheté par le poseur, salarié du point de vente. A Biarritz, Versailles ou Rennes, enfin, ce sont les enfants, « soucieux de faire perdurer l’entreprise familiale », qui ont repris les rênes de l’affaire.
Lors d’une création de magasin, il faut tabler sur plusieurs mois de développement auxquels viennent s’ajouter le délai entre les premières commandes et la facturation effective. La reprise d’un point de vente réduit considérablement le temps de mise en place et la facturation peut débuter immédiatement. Les repreneurs n’en bénéficient pas moins d’un accompagnement important de la part du réseau, qui met en place une formation initiale complète pour tous ses concessionnaires. « Les repreneurs sont accompagnés pendant environ 6 mois par leurs prédécesseurs », précise Arthur Bonnet et de nombreuses formations leur sont proposées, tant au niveau des produits que des méthodes de vente.