"on m’a transmis un concept vraiment clé en main, avec les bonnes informations et la formation complète qui va avec", Riad Ayed, Cash and Repair Clichy-sous-Bois
Riad Ayed est devenu, en décembre 2018, le premier franchisé Cash and Repair en région parisienne, avec l'ouverture d'un atelier à Clichy-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Réalisant un très beau démarrage, et rentable dès le deuxième mois, l'entrepreneur revient sur cette première année d'exploitation.
CASH AND REPAIR
Un démarrage sur les chapeaux de roue
Installés dans la galerie commerciale du Leclerc de Clichy-sous-Bois depuis décembre 2018, Riad Ayed et son atelier Cash and Repair ont réalisé un démarrage et une première année d'exploitation exemplaires. Dès le départ, l'entrepreneur était conscient du défi représenté par le fait d'être la première implantation du réseau en région parisienne : "Il fallait donc rapidement se positionner par rapport à la concurrence et surtout se démarquer vraiment" explique Riad.
Pour cela, le franchisé a notamment choisi d'ouvrir sur une large amplitude horaire, du lundi au samedi, mais aussi le dimanche matin. Une stratégie qui, malgré l'arrêt maladie de l'un de ses deux employés, se révèle payante, puisque l'atelier opère le meilleur démarrage de l'enseigne, et la tendance se confirme, lui permettant d'être rentable dès le deuxième mois d'exploitation.
Ce résultat, Riad est conscient qu'il le doit à toute la préparation proposée en amont par Cash and Repair : " Là où on m’a accompagné, c’est que déjà on m’a transmis un concept vraiment clé en main, avec les bonnes informations et la formation complète qui va avec et l’accompagnement humain bien sûr avec Bertrand (Lepineau, dirigeant du réseau, ndlr), les formateurs, etc."
Accroitre le chiffre d'affaires et ouvrir un deuxième atelier
Néanmoins, l'entrepreneur aime le challenge, et ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Il prend le temps d'observer ses clients, de les fidéliser pour devenir "le réparateur de confiance local". En effet, explique Riad, " ce qui m’a le plus étonné même si je m’en doutais un peu, c’est l’importance du téléphone pour le client. Là on s’en rend vraiment compte, c’est palpable. Le client, on a presque l’impression d’opérer son bras ou un autre membre de son corps". Ainsi, pour une "opération" réussie dans un foyer, le franchisé sait que cela peut lui en apporter beaucoup d'autre : " je trouve ça génial parce que du coup on peut répondre à leur demande sur plusieurs points : smartphones, tablettes, PC portables, consoles de jeu, c’est top" détaille-t-il.
Et si, dans un premier temps, l'atelier a beaucoup misé sur le bouche à oreille et le passage de la galerie, l'entrepreneur se sent prêt à lancer des actions de communication locales pour développer son chiffre d'affaires. Car l'idée, à terme, est d'atteindre le résultat qui lui permettra de recruter une quatrième personne, dans le but de pouvoir se consacrer à l'ouverture d'un second atelier dans la région : "Mon objectif est simple : continuer à responsabiliser l’équipe, à leur transmettre mon expérience dans la vente, être moins indispensable sur l’atelier et pour les clients (certains veulent toujours me voir), afin de pouvoir ouvrir un second atelier sur la région parisienne. Mais je ne l’ouvrirai pas au détriment du premier, ça c’est sûr" affirme-t-il.
Interrogé sur les atouts de l'enseigne, le franchisé n'hésite pas à inciter les candidats à foncer et se lancer à leur tour : "Je dirais qu’avec Cash and Repair, j’ai trouvé un concept bien rodé et rentable, vraiment basé sur la qualité du service et avec un échange sans limite d’expérience et de bonnes pratiques. Donc si ce métier vous intéresse et que vous avez envie de vous investir, foncez !”
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