« Aimant les bonnes choses et le contact humain quoi de mieux que d’entreprendre dans la restauration ? », Charles Révay (licencié Monsieur Le Zinc)
En mars 2019, Charles Révay ouvrait son bar à bière et vin en libre-service Monsieur Le Zinc dans le 15e arrondissement de Paris. Un an après, il fait le bilan de cette aventure entrepreneuriale.
MONSIEUR LE ZINC
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Charles Révay : J’ai 32 ans. Après des études de droit je me cherchais et cherchais un métier dans lequel je pourrais m’épanouir. Ayant toujours aimé les bonnes choses et le contact humain quoi de mieux que d’entreprendre dans la restauration. C’est ainsi que j’ai commencé, en 2015, comme manager du tout premier Monsieur le Zinc de Paris Odéon. Connaissant déjà le concept Monsieur le Zinc et tous ses avantages, c’est naturellement vers ce réseau que je me suis tourné pour ouvrir mon propre bar.
Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
J’ai été accompagné dès le début, dès que j’ai envisagé m’installer à mon compte. L’équipe de Monsieur le Zinc m’a aidé à trouver un local. Elle m’a ensuite aidé dans les travaux, les idées, l’agencement et continue de m’aider, dans les moments faciles et aussi dans les moments difficiles comme en ce moment.
Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
On a de bonnes relations et nous arrivons à discuter entre nous même si nous ne sommes encore que quatre. J’ai un ami à Lille à qui je donne plein de conseils et qui me pose pas mal de question. J’ai noué des contacts avec Jérémy qui a ouvert à Melun et nous échangeons pas mal car il a aussi plus d’expérience que moi dans la restauration.
L’analyse que vous avez menée avant de vous lancer corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ? Diriez vous que le concept Monsieur le Zinc est bien positionné sur le marché ?
Oui c’est ce à quoi je m’attendais. J’ai même eu de bonnes surprises qui confirment les bons choix que nous avons pris avec mon franchiseur (choix du local, adaptation du système de libre-service à la clientèle du quartier, etc.). Le concept Monsieur le Zinc est performant car il génère moins de charges qu’un bar traditionnel et une fidélisation plus facile grâce aux informations clients liées au système de carte prépayée pour le libre-service.
En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs et quelles actions menez-vous pour développer votre chiffre d’affaires et votre clientèle ?
Oui j’ai atteint mes objectifs même si la pandémie de Covid 19 a stoppé mon élan. En termes d’actions, j’ai ouvert et propose une carte au déjeuner à la différence des autres Monsieur le Zinc à l’exception de celui de Melun. J’organise également des soirées à thèmes, lors d’événements sportifs ou festifs comme la Saint-Patrick ou encore autour d’un produit spécifique comme les huîtres par exemple.
Pensez-vous que vous auriez pu réaliser seul un tel projet ?
Je pense que j’aurais pu mais cela m’aurait pris beaucoup plus de temps pour une rentabilité plus longue à voir le jour. Si c’était à refaire je signerais à nouveau sans hésiter.
Quels conseils donneriez-vous aux candidats intéressés par le concept de bar en libre-service Monsieur le Zinc ?
Tentez l’expérience, elle est rentable, ludique pour les clients et avant tout humaine car on a plus de temps à consacrer aux clients !
Pour en savoir davantage sur les conditions pour ouvrir un bar à bière et vin en libre-service avec le réseau, consultez la fiche de présentation du concept Monsieur le Zinc.