« Notre franchiseur nous a exonéré des royalties depuis le début de cette crise sanitaire », Grégory Neveu (Simplici Car)
Suite aux mesures prises par le gouvernement, notamment la fermeture des établissements recevant du public, afin de limiter la propagation du coronavirus, de nombreux franchisés, comme Gregory Neveu ont été plongés dans une situation inédite. Ce dernier témoigne aujourd’hui de sa gestion de cette crise sanitaire, et de l’aide apporté par son franchiseur.
SIMPLICICAR / SIMPLICIBIKE / SIMPLICILEASE
Franchisé Simplici Car dans le 15e arrondissement de Paris, Grégory Neveu a débuté son activité en janvier 2019. Surfant sur une bonne dynamique de croissance depuis l’ouverture de son agence, ce dernier a été contraint, comme tous les franchisés de son réseau, de fermer son agence afin de se conformer aux mesures gouvernementales. Une décision très difficile mais très importante, qui aura un impact direct sur son chiffre d’affaires 2020 : « la crise qui a débuté pour moi en pleine saison haute, et qui n’est pas finie, va nous mener vers un chiffre d’affaires nettement minoré pour cette année » indique Grégory Neveu dans un premier temps, « je vais demander un PGE afin de pouvoir régler mes charges fixes, loyer, frais de publications assurances etc » poursuit ce dernier.
Pour faire face à cette crise sanitaire et son impact sur le plan financier, le franchisé a pu compter sur l’accompagnement et l’aide du réseau qui a été présent à ses côtés : « notre franchiseur Mr Dayan Yoni, nous a exonéré des royalties depuis le début de cette crise sanitaires mondiale, ce qui nous a permis de ne pas être trop asphyxié par les frais. Je n’avais évidemment pas prévu un tel événement, qui va avoir d’énormes conséquences pour l’économie internationale ».
Si comme Grégory Neveu, vous souhaitez entreprendre avec une enseigne qui vous épaule dans les moments difficiles, rendez-vous sur la fiche de présentation de la franchise Simplici Car.