« Ingénieure chimiste, je me suis reconvertie dans le soutien scolaire », Lucie Lucas (Anacours Clemont-Ferrand)
Lucie Lucas est franchisée Anacours à Clemont-Ferrand depuis octobre 2019. Pour Toute la Franchise, elle revient sur son parcours professionnel et les raisons de cette reconversion vers le soutien scolaire. La chef d’entreprise explique aussi comment son activité a été impactée par la crise du coronavirus Covid-19 et l’accompagnement dont elle a bénéficié de la part du réseau.
ANACOURS
Quel est votre parcours professionnel en quelques mots ?
Je suis ingénieure chimiste de formation et je souhaitais m’orienter dans un métier avec plus de relationnel. Après avoir été professeur en cours particulier pendant mes études, j’ai travaillé dans l’enseignement après ma formation puis en tant que responsable pédagogique dans une structure de soutien scolaire.
En 2008, au sein de cette même enseigne, j’ai pris la direction d’une agence sur Orléans. Puis je suis devenue franchisée en 2010 au sein de l’agence de Clermont-Ferrand en tant qu’indépendante.
Qu’est-ce qui vous a convaincue d’entreprendre en franchise et avec ce réseau en particulier ?
Ayant été franchisée auparavant je connaissais le fonctionnement et il me convenait bien.
Le réseau Anacours m’a plu pour son expertise sur les cours à domicile que je souhaitais développer dans mon agence. Mais c’est surtout une question de rencontre. J’ai retrouvé des valeurs communes avec les personnes du réseau que j’ai rencontrées.
Comment votre réseau vous a-t-il accompagnée dans le lancement de votre agence ? et après ?
Il m’a accompagnée dans la recherche de financement, de local, dans la formation aux process de départ.
J’avais déjà une expérience certaine du métier, j’ai pu les solliciter uniquement si j’en avais besoin.
Encore aujourd’hui, la franchise est présente quand j’en ai besoin, sur la gestion, la stratégie ou l’opérationnel. Pour ma part, ils m’accompagnent surtout dans la mise en place de la communication (notamment en temps de crise sanitaire) qui est mon point faible.
Quelle(s) qualité(s) faut-il avoir pour gérer un centre de soutien scolaire ?
Ecoute, empathie, qualités relationnelles. Techniques de ventes, autonomie, réactivité.
La crise sanitaire a-t-elle impacté votre activité ?
Oui, surtout au printemps dernier. C’est l’annulation des examens plus que le confinement qui nous a fait du tort, car les cours ont pu être proposés en visio. La rentrée, en revanche, a été plutôt dynamique.