"Etre en réseau me rassure, je me sens moins seule" Camille Maerten, franchisée Passtime dans les Hautes-Alpes

Pourriez-vous vous présenter, et nous expliquer, en quelques mots, votre parcours professionnel jusqu’à la découverte de ce réseau ?

Je suis Camille Maerten, j'ai 32 ans et je vis dans les Hautes-Alpes depuis 7 ans. Avant de rejoindre Passtime, j'ai occupé plusieurs postes dans des PME en tant que chargée du développement commercial et marketing des produits.

Par quels moyens avez-vous connu cette franchise et comment êtes-vous entré en contact avec elle ?

J'ai connu les produits PASSTIME en étant d'abord utilisatrice. Pour acheter mon guide 2015, j'ai rencontré la franchisée qui s'occupait du secteur et elle m'a appris qu'elle quittait la région et allait céder son activité... Déjà fan du produit, je me suis alors renseignée plus en détails sur la franchise et je me suis lancée pour prendre sa succession.

Pouvez-vous nous commenter la rencontre initiale avec le franchiseur et nous dire ce qui a déterminé votre choix pour cette franchise plutôt qu’une autre ?

L'entretien a duré trois heures avec Philippe COURTIAL (le directeur général de l'enseigne, ndlr) ! J'avais déjà un maximum d'informations avant de me rendre à Perpignan, et la rencontre m'a confortée dans le sérieux de cette franchise. Je n'avais pas étudié les autres franchises, mais fait une étude concurrentielle sur mon secteur.

Comment avez-vous mis à profit les délais de réflexion prévus par la loi Doubin ?

J'ai longuement hésité car le loyer de la franchise avait quasiment doublé par rapport à celle qui occupait le secteur avant moi. Mes prévisions comptables étaient donc moins attractives, et j'ai plutôt utilisé ce temps à rechercher des financements pour lancer mon activité.

Pensez-vous que vous auriez pu réussir aussi aisément sans l’assistance du franchiseur ?

Je ne pense pas... La franchise est forte de sa notoriété et nous assiste sur toute la partie communication web et nationale, infographie, juridique... Tous ces aspects demandent énormément de temps, et le fait de s'en délester nous permet de nous consacrer à la réalisation et vente des produits.

Est-ce que le franchiseur a respecté tous ses engagements initiaux et est-ce qu’il continue à assumer son rôle ?

Oui bien sûr.

Quels outils votre franchiseur a mis à votre disposition lors du lancement de votre entreprise ? Diriez-vous qu’ils ont été suffisants ? Et sinon pourquoi ?

Plateforme informatique, formation, suivi par web conférences régulières, contrats, un directeur disponible au téléphone pour toutes nos questions. Pour moi, c'était suffisant.

À présent que vous êtes en activité, êtes-vous en contact avec d’autres franchisés du réseau ? Comment cela se passe-t-il avec eux ?

Je suis en contact avec d'autres franchisés : c'est une très bonne chose car même si on est seul sur notre secteur, ces échanges sont enrichissants. Ce réseau me rassure, je me sens moins seule, moi qui ai toujours travaillé en tant que salariée et en équipe auparavant.

Que pourriez-vous nous dire au sujet de la formation et de l’assistance dans ce réseau ? En êtes-vous satisfait ? Et sinon pourquoi ?

Je suis satisfaite de la formation et surtout de l'assistance, j'obtiens rapidement les réponses à mes questions.

Diriez-vous, aujourd’hui, que le concept est bien placé sur le marché ? Et est-ce que cela correspond à l’étude que vous auriez pu réaliser en amont ?

Le concept n'est pas encore assez connu à mon avis, ou, s'il est connu, les gens ne réalisent pas vraiment l'importance des économies réalisables. En revanche, une fois qu'ils en prennent conscience, c'est gagné et les clients sont très enthousiastes. Je pense qu'il faut vraiment accentuer la communication pour que les gens y pensent toute l'année. Mais je suis optimiste sur l'avenir, nous sommes sur la bonne voie.

Pour finir, accepteriez-vous de vous engager à nouveau avec votre franchiseur si vous pouviez revenir en arrière ? Et si oui, que pourriez-vous dire aux postulants pour les convaincre de signer à leur tour avec cette enseigne ?

Avec mon recul actuel, je signerais à nouveau sans souci. J'ai confiance en la puissance des produits et du réseau.

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