« La morosité économique ambiante ne doit pas être un frein à l’aventure entrepreneuriale mais un moteur de changement ! » (Passtime Hauts de Seine)

Pourriez-vous nous expliquer, en quelques mots, votre parcours professionnel jusqu’à votre création d’entreprise avec Passtime ?

J’ai 37 ans, je suis pacsé et papa de deux enfants.

Diplômé de Sup de Co Toulouse en 2002, j’ai été pendant un an responsable adjoint d’un centre Shurgard (self-stockage), animateur des ventes en magasin GO Sport pendant trois ans et Attaché commercial chez MGS (Revendeur informatique) pendant huit ans.

Par quels moyens avez-vous connu cette franchise et comment êtes-vous entré en contact avec elle ?

J’ai découvert Passtime sur le site Toute la Franchise et le concept m’a tout de suite séduit.

Je finissais un bilan de compétences, et celles demandées pour l’activité Passtime collaient parfaitement avec les miennes, même si je n‘avais jamais créé d’entreprise auparavant j’ai eu tout de suite envie de sauter le pas.

J’ai répondu au dossier de candidature fin avril 2015, demandé en ligne et renvoyé par courrier au franchiseur, qui m’a répondu rapidement.

Pouvez-vous nous commenter la rencontre initiale avec le franchiseur et nous dire ce qui a déterminé votre choix pour cette franchise plutôt qu’une autre ?

J’ai rencontré le directeur général, Philippe Courtial, et les deux fondateurs historiques du concept fin mai 2015 au cours d’un entretien très riche qui a répondu aux nombreuses questions suscitées par le concept et ses modalités effectives.

L’entretien a duré plus de 3h (j’en ai même raté mon train de retour !), on sent l’envie d’avancer et on est accueilli de manière personnelle, pas comme un numéro dans une grande entreprise, Passtime c’est aussi la proximité avec ses franchisés.

Comment avez-vous mis à profit les délais de réflexion prévus par la loi Doubin ?

J’ai commandé ma carte Passtime en ligne et fait un test auprès d’un restaurateur (mon département ayant été pourvu auparavant) et en le questionnant aussi (il était un peu surpris !), puis je me suis renseigné auprès des différents acteurs du marché mais aucun ne fonctionnait comme Passtime sur mon département ou n’était en concurrence que sur une partie des activités.

Le revers de la médaille est que cela ne simplifie pas forcement la tâche car il y a tout à expliquer et à développer auprès des partenaires et clients…

Pensez-vous que vous auriez pu réussir aussi aisément sans l’assistance du franchiseur ?

Non pas du tout, les différent supports, argumentaires et toute la communication autour du concept sont quasi impossibles aussi bien financièrement qu’au niveau timing à mettre en place seul ou même à deux, ce qui est fait par le franchiseur est irremplaçable.

Est-ce que le franchiseur a respecté tous ses engagements initiaux et est-ce qu’il continue à assumer son rôle ?

Oui après une formation initiale très riche, nous faisons un point toutes les semaines via Skype et le franchiseur se montre disponible sur les questions qui soulèvent des doutes dans la manière de faire, on peut dire qu’il assume son rôle évidemment.

Le forum d’échanges entre franchisés et les questions directes au franchiseur constituent aussi un support d’information direct et efficace.

Quels outils votre franchiseur a mis à votre disposition lors du lancement de votre entreprise ? Diriez-vous qu’ils ont été suffisants ? Et sinon pourquoi ?

Tous les outils informatiques qui comprennent notamment l’enregistrement et la mise en page des partenariats, les documents de communication et le kit de démarrage, la formation initiale ; ils sont largement suffisants et au point. Je regrette simplement qu’il n’y ait pas plus d’informations juridiques pour créer et gérer son entreprise pour moi qui étais novice en la matière (c’est anxiogène au début).

À présent que vous êtes en activité, êtes-vous en contact avec d’autres franchisés du réseau ? Et dans l’affirmative comment cela se passe avec eux ?

On peut aussi compter sur nos franchisés proches géographiquement (en l’occurrence Paris et L’Essonne dans mon cas) pour échanger et se conseiller sur ce qui marche.

Leur accueil et disponibilité sont réelles, on se téléphone presque toutes les semaines, le maillage du territoire est très important car plus le territoire est couvert plus les partenariats et la commercialisation sont efficaces.

Que pourriez-vous nous dire au sujet de la formation et de l’assistance dans ce réseau ? En êtes-vous satisfait ? Et sinon pourquoi ?

Je suis satisfait de l’assistance, c’est un métier plutôt individualiste car vous travaillez et vous motivez seuls, mais au sein d’une communauté qui le même objectif, c’est la force du réseau !

De plus le fait que cela fonctionne par département exclusif évite toute querelle de clocher ou interférence dans sa zone géographique, on travaille sereinement.

Pour finir, accepteriez-vous de vous engager à nouveau avec votre franchiseur si vous pouviez revenir en arrière ? Et si oui, que pourriez-vous dire aux postulants pour les convaincre de signer à leur tour avec cette enseigne ?

Oui sans aucun doute. Je conseille aux postulants de se lancer dans l’aventure non pas par défaut (ex : je cherche un nouveau job car je ne me plais plus là où je travaille) mais avec une réelle envie de créer sa propre valeur ajoutée, de travailler à son compte.

Les qualités nécessaires sont l’autonomie, une certaine maturité et la possibilité financière de vivre sur ces « deniers personnels » pendant quelques mois et évidemment le goût du contact et du commercial (dans le bon sens du terme), personne timide s’abstenir !

Si vous souhaitez changer ou faire décoller votre carrière dans une aventure en pleine expansion, c’est Passtime qu’il faut choisir ! La morosité économique ambiante ne doit pas être un frein à l’aventure entrepreneuriale mais au contraire un moteur de changement.

Vous souhaitez profiter du confinement actuel pour changer d'orientation professionnelle et démarrer une nouvelle carrière ? C'est le moment de vous rapprocher du réseau pour savoir comment devenir franchisé Passtime !