« Etre la première femme franchisée du réseau est une grande fierté ! » Sabine Bezeman (HYDROPARTS Assistance Moselle)

Quel a été votre parcours avant de rejoindre HYDROPARTS Assistance ?

J’étais salariée dans la carrosserie industrielle, où j’ai occupé plusieurs postes, de secrétaire, assistante commerciale et au niveau de gestion des commandes. Quand j’ai dû suivre mon conjoint à Nancy, je me suis dit que c’était le bon moment pour me mettre à mon compte. Et ça m’a paru évident de le faire sur un secteur lié aux camions ! Mon papa avait une entreprise dans le transport, j’ai donc toujours baigné dans ce milieu-là et je n’avais pas envie de m’en éloigner.

Pourquoi avoir choisi ce réseau ? Quels étaient, pour vous, ses atouts par rapport à la concurrence ?

Je connaissais déjà bien HYDROPARTS Assistance dans mon ancien métier. Je connaissais leur sérieux et leur réputation dans le domaine et je savais qu’en créant mon entreprise avec eux, j’aurais de vraies garanties. D’autant que c’est le seul réseau structuré sur le marché ! Pour moi, l’intérêt de la franchise est évident. Ce n’est pas facile de devenir son propre patron à 40 ans, alors je voulais le faire en étant entouré d’un groupe solide et au concept éprouvé. C’est ce que j’avais avec HYDROPARTS Assistance ! 

De quel accompagnement avez-vous bénéficié au moment de votre lancement ? Et par la suite ?

En fait, l’équipe est tout le temps là. Il y a un suivi, de la formation, une présence en cas de besoin… On a une équipe dédiée si on a un problème, que ce soit au niveau technique ou de la facturation. Ils sont toujours là pour nous répondre et c’est un vrai plus dans l’activité. 

Et puis comme ils connaissent parfaitement le secteur, ils nous apportent de vrais conseils techniques. Par exemple, on a un accès direct à un technicien qui nous aide à faire le dépannage au plus vite. Si je n’étais pas dans ce réseau, mes techniciens feraient évidemment la réparation, mais sans ces conseils, ils mettraient peut-être deux ou trois fois plus de temps…

C’est l’ensemble de ces éléments qui vous ont convaincue d’exporter le concept jusqu’au Luxembourg ?

Quand j’ai décidé de prendre le secteur de la Moselle, je me suis rendue compte que la demande au Luxembourg était tout aussi forte et que je serais automatiquement amenée à faire des interventions là-bas. Du coup, j’ai pris la décision de me lancer simultanément sur les deux zones. J’ai aussi maintenant des demandes pour la Belgique qui commencent à arriver, car il n’y a pas de prestataire dans ce pays non plus. Si j’ai la possibilité de m’implanter là-bas, j’y réfléchirai mais il ne faut pas non plus brûler les étapes. Je suis déjà la première à avoir exporté le concept HYDROPARTS Assistance dans un autre pays et j’en suis très fière !

Vous êtes également la première femme à avoir rejoint la franchise !

Oui, et j’en suis également très fière ! Ce n’est pas forcément évident de s’intégrer dans un milieu d’hommes. On doit davantage faire ses preuves et on n’a absolument pas droit à l’erreur. Mais j’ai réussi et c’est une vraie fierté. 

Comment avez-vous vécu les deux confinements successifs ?

Le premier confinement a été très compliqué au départ car en Moselle, nous avons été les premiers touchés et personne ne savait où on allait. L’activité a été totalement à l’arrêt pendant deux semaines et puis elle a repris progressivement. Pour le second confinement, rien n’a changé par rapport à d’habitude. Nous avons continué à travailler normalement. 

HYDROPARTS Assistance a été un bon relais d’information pour tout ce qui était mis en place par l’Etat, que ce soit au niveau des aides, des attestations ou du dispositif d’activité partielle. 

Quel conseil donneriez-vous à un créateur d’entreprise qui hésite à se lancer au vu de la conjoncture actuelle ?

Je lui dirais de se lancer ! Devenir franchisé HYDROPARTS Assistance, c’est se lancer dans un métier de services, pour lequel les gens auront toujours besoin de nous. Même pendant les confinements, les clients ont continué à acheter sur internet et à se faire livrer. Les camions avaient donc besoin de faire entretenir et réparer leur hayon… Notre secteur ne connaîtra pas de baisse d’activité dans le contexte actuel, bien au contraire. La crise a boosté notre activité et va continuer à le faire !