" Notre activité a bondi au mois de novembre !" Julia Martin, Simplici Car Montpellier

Quel a été votre parcours avant de rejoindre Simplici Car ?

Je suis diplômée d'une école de commerce : j'ai fait mon cursus en cinq ans, moitié à l'étranger et moitié en France. Mon stage de fin d'étude s'est déroulé au siège de Lidl France ou je me suis occupée de la satisfaction salariés et de la satisfaction clients. Mes projets concernaient l'optimisation de la satisfaction clients, le bien-être des employés dans l'entreprise et le développement de la marque employeur.

C'est ensuite ma meilleure amie, Agathe Hochard, franchisée Simplici Car à Athis-Mons, qui m'a inspiré le projet de l'ouverture d'une agence à Montpellier. J'ai toujours voulu me lancer dans un projet entrepreneurial et travailler pour moi, sauf que je n'avais pas forcément l'idée pour le faire, ni l'expérience. Je me suis dit qu'en passant par une franchise, je serai soutenue par le franchiseur, c'était moins effrayant pour moi.

J'ai fait toute cette aventure avec mon compagnon, Carl, qui, lui, a travaillé un peu au sein du Simplici Car d'Athis-Mons avec Agathe, pour se former et vérifier que le métier pouvait nous plaire. Ça nous a plu et nous avons donc décidé de nous lancer ensemble.

Avez-vous consulté la concurrence avant de vous lancer ?

Agathe nous avait déjà quasiment convaincus, mais nous avons quand même contacté les concurrents directs de Simplici Car, pour voir ce qu'ils avaient à proposer. Mais nous avons eu un très bon contact avec Yoni Dayan, notre franchiseur, donc tout s'est fait naturellement, et les contacts que nous avons eus avec la concurrence n'ont fait que confirmer notre choix d'enseigne.

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre intégration et l'accompagnement que vous avez reçu ?

Nous habitions à Paris, donc nous avons dû déménager dans le sud de la France, cela marque pour moi le démarrage de notre projet, en janvier 2020. Nous avons recherché un local commercial pendant six mois, ce qui a été un peu compliqué avec le premier confinement. Yoni nous a accompagné dans cette recherche et donné de nombreux conseils, et nous avons finalement trouvé au mois de juin. Nous avons ensuite suivi, dans la foulée, notre formation à Paris. Pendant deux semaines, nous avons appris tout ce que l'on sait aujourd'hui, toutes les bases du métier : rentrer un mandat, la partie administrative, fixer le prix des voitures, les discours commerciaux, le phoning... C'est une formation à la fois théorique et pratique très bien conçue.  Enfin, après deux mois de travaux pendant l'été, nous avons pu ouvrir officiellement en septembre dernier.

Comment s'est passé votre démarrage ?

Au moment de l'ouverture, Yoni a passé quelques jours avec nous pour nous accompagner dans notre quotidien, et pour lui aussi avoir un aperçu du terrain montpelliérain. Notre premier commercial est arrivé en même temps que lui, il a donc pu lui donner des conseils directement. Il a fait en sorte que nous soyons pleinement opérationnels. Aujourd'hui, c'est un accompagnement au quotidien, il est très disponible, j'appelle si j'ai la moindre question ou la moindre difficulté.

De manière générale, malgré le contexte économique et sanitaire, nous sommes assez contents de nos résultats. Le mois de septembre a été très difficile, le temps qu'on intègre bien les process, qu'on applique parfaitement la formation qu'on avait eue en juin. Nous avons un peu tâtonné, entre la recherche de nos commerciaux, leur formation… En octobre, nous avons commencé à faire des ventes : nous n'en avions fait qu'une en septembre, mais, même si le nombre augmentait, on continuait de se dire que ça risquait d'être un peu compliqué. 

Mais finalement, le confinement de novembre ne nous a posé aucun problème, nous avons continué à travailler. Nous avons pu rester ouverts sur rendez-vous, et tout ce qui pouvait être fait en télétravail l'a été. Les clients étaient au rendez-vous, et continuent de l'être, depuis novembre, tout va bien : notre activité a bondi au mois de novembre, donc je ne peux pas dire que le reconfinement a été un frein pour nous !

Quelles sont vos attentes pour la suite ?

Concernant nos rapports avec notre franchiseur, je n'attends pas plus que ce qu'il nous apporte déjà, tout se passe très bien. Et concernant notre affaire, j'attends que cela fonctionne le mieux possible, bien sûr ! Nous aimerions arriver à réaliser rapidement entre 20 et 30 ventes par mois.

Quel conseil donneriez-vous à un candidat souhaitant rejoindre Simplici Car ?

Je lui dirais de faire, en plus de la formation, une immersion en agence. Pas une immersion de deux jours, plutôt deux semaines, voire un mois, pour avoir une idée de tous les éléments du business, de la rentrée du mandat jusqu'à la vente finale de la voiture, en passant par l'administratif, parce que c'est un aspect pas évident à gérer au démarrage.

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