"Être la première femme du réseau Sagéau ? Je me sens fière et motivée, et espère d’être la première d’une longue lignée" Sabrina Alicic, franchisée Sagéau

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Sabrina, j’ai 43 ans, je viens d’Olivet près d’Orléans et je suis maman de deux garçons. Anciennement, je travaillais dans les métiers de l’administratif dans une compagnie d’assurance.

Qu’est-ce qui vous a poussé à vous lancer dans l’aventure Sagéau ? 

Je connais Sagéau depuis déjà quelques années, j’ai vu le développement de la société. Je me suis retrouvée en début d’année sans rien professionnellement, donc je me suis mise dans la réflexion d’une reconversion. Je me suis tournée vers Yoann Portelli et vers sa profession, et je me suis dit « pourquoi ne pas me lancer dans l’aventure ?». 

Pour vous, est-il possible de se lancer seule dans cette aventure ?

Non, les diverses formations que j’ai suivies étaient nécessaires pour commencer. Il a fallu me déplacer sur des chantiers, rencontrer des terrassiers, préparer ma communication, ma prospection, le plan commercial, la gestion… Sans l’aide de toute l’équipe de Sagéau Gironde, les choses auraient été moins simples.

A la fin de votre formation, dans quel état d’esprit étiez-vous ?

Les trois semaines de formation étaient très intéressantes, très enrichissantes, beaucoup d’informations. Mais je me sentais bien, je sentais que j’allais être accompagnée, écoutée donc je savais que c’était une belle aventure qui commençait : j’étais impatiente et rassurée.

Qu’est-ce que cela vous fait de savoir que vous êtes la première femme à entrer dans le réseau Sagéau ?

Première femme à entrer dans le réseau Sagéau… Je me sens fière, motivée, et je veux prouver que j’ai ma place dans ce milieu, qui est un milieu d’hommes. J’espère ne pas être la dernière, mais justement la première d’une longue lignée et qu’on soit nombreuses par la suite.

Que diriez-vous à celles qui veulent se lancer dans les métiers du BTP ? 

Si j’avais un conseil à donner à une femme qui veut se lancer mais qui n’ose pas, c’est qu’il ne faut pas trop se poser de questions, il faut y aller, il ne faut pas avoir d’apriori. Au contraire, je pense qu’on a nos places dans ces métiers là, dans ce secteur d’activité. Il faut prouver justement qu’on peut aussi faire ce genre de métiers.

Comment se passent les relations avec les autres franchisés ?

Nous avons l’occasion de nous croiser lors des séminaires ou des formations et même en visioconférence, ils sont très bienveillants, à l’écoute et présents si j’ai des questions car ils savent que je suis toute nouvelle dans ce métier. Nous avons de très bonnes relations !

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