« Ce que nous souhaitons chez ELTON, ce sont des ambitions de développement maîtrisées » Benjamin Abbou (ELTON)

Comment ça va ?

Ca va plutôt pas mal, l'année démarre bien pour ELTON avec deux ouvertures prévues, une à Poitiers et une dans l'ouest lyonnais. Le salon Franchise Expo démarre plutôt bien aussi, avec un bel engouement pour la marque, malgré son lancement récent, et des gens très désireux d’en savoir plus sur notre positionnement un peu différent sur le marché de la cuisine.  

Quel est votre concept et quels sont ses atouts par rapport à la concurrence ?

Quand nous avons créé notre marque, la volonté a toujours été de ne pas faire la énième marque de cuisine : il y a des marques qui sont très bien sur le marché de la cuisine en France, et qui font très bien leur métier. Nous, ce qu'on a voulu apporter en créant ELTON, c'est une nouvelle expérience pour le consommateur, vraiment axée sur la décoration d'intérieur et l'agencement. Nous faisons appel à de vrais décorateurs, de vrais architectes, qui pensent les projets dans leur globalité, et en faisant en sorte qu’ils soient vraiment uniques en leur genre, c'est là l'une des baselines de la marque. Avec ELTON, nous apportons donc cette dimension décoration et cette dimension désirabilité d'une marque dans le coup, fraiche, et positionnée plutôt sur le premium, le chic.

Comment gérez-vous la reprise d'activité post-Covid ?

Dans la cuisine, nous avons plutôt eu des « problèmes de riches », si je puis dire, parce que du coup nous avons eu une reprise qui a été hallucinante, presque au point de ne pas pouvoir servir tous nos consommateurs. La cuisine est un marché qui se porte bien, car, avec le covid, les gens ont envie de se recentrer sur leur intérieur : du coup la reprise post covid s'est bien passée, avec aussi beaucoup d'outils que nous avons mis en place, comme le projet à distance pour pouvoir accueillir les clients de manière différente.

Quelles sont vos perspectives et ambitions de développement ?

Ce que nous souhaitons chez ELTON, ce sont des ambitions de développement maîtrisées : nous voulons nous développer, mais pas trop vite, et surtout pas avec des candidats qui ne seraient pas adaptés. Nous voulons vraiment prendre le temps de choisir les villes, et de choisir des candidats qui, soit viennent du monde de la cuisine, soit ont une très belle appétence pour la décoration d'intérieur, comme des architectes de formation par exemple. Notre ambition est ainsi d’atteindre 40 à 50 magasins d’ici cinq à six ans.

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