« J’ai choisi La Cabane d’Achille & Camille pour le concept, le projet pédagogique et toutes leurs valeurs », Marine Ortolé (franchisée Alfortville)
Franchise de micro-crèches centrées sur le bien-être des enfants, des parents et des professionnels, La Cabane d’Achille & Camille figure aujourd’hui parmi les acteurs incontournables dans son secteur d’activité. Pour continuer à promouvoir son concept, le réseau a décidé de donner la parole à ses franchisés pour qu’ils témoignent de leur expérience et ambition au sein du réseau. Récemment, c’est Marine Ortolé, franchisée à Alfortville, qui a accepté de partager son parcours à travers une interview exclusive pour Toute la Franchise.
LA CABANE D'ACHILLE ET CAMILLE
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Marine, j’ai 30 ans et je suis maman d’un petit garçon de deux ans et demi qui s’appelle Mathis. J’ai ouvert une micro-crèche La Cabane d’Achille & Camille à Alfortville dans le 94 mais j’ai grandi aux Antilles, en Martinique plus précisément et je suis arrivée en France, à Paris, il y a une dizaine d’années pour mes études. De fil en aiguille, je me suis installée dans le Val-de-Marne à Créteil.
Pourquoi avoir ouvert votre micro-crèche avec La Cabane d’Achille & Camille ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
J’avais comme projet l’ouverture d’une structure depuis un moment mais je n’osais pas forcément me lancer, je ne trouvais jamais le bon moment pour le faire. Lorsque je suis tombée enceinte, ça a été l’occasion pour moi de me poser, de réfléchir et de me lancer concrètement dans le projet. J’ai choisi La Cabane d’Achille & Camille car le concept, le projet pédagogique et toutes les valeurs que véhicule la franchise et qui ne se trouvent que dans celle-ci m’ont plu. Également, les échanges et les rencontres que j’ai pu faire : Anne-Laure [Noubissi, directrice et cofondatrice de La Cabane d’Achille & Camille], Junior [Noubissi, président-directeur général et cofondateur de La Cabane d’Achille & Camille] et toutes les personnes que j’ai contactées ont réussi à me convaincre de finaliser ce projet-là.
Et pourquoi pas une autre franchise ? Tout simplement parce que j’ai eu des échanges avec d’autres franchiseurs, mais ça n’a pas été plus loin que ça car la Cabane me plaisait déjà beaucoup, alors j’ai décidé de me lancer avec eux !
Etiez-vous dans la petite enfance avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé pour vous reconvertir dans la petite enfance ?
Non, à la base je ne viens pas du milieu de la petite enfance : j’ai un master en ressources humaines. Comme je l’ai précisé un peu plus tôt, j’avais pour projet l’ouverture d’une structure mais je ne savais encore pas dans quel domaine. Mon choix s’orientait soit vers la petite enfance, soit vers le handicap soit vers les personnes âgées ; toujours dans le social mais je ne savais quoi faire principalement.
Pendant mes études, j’ai passé mon BAFA (Brevet d'Aptitude aux Fonctions d’Animateur) et j’ai beaucoup travaillé dans des colonies de vacances, dans des centres aérés, etc… Ce qui a commencé à orienter mon choix. Puis, c’est pendant ma grossesse que je me suis décidée à ouvrir un lieu d’accueil de la petite enfance.
Comment avez-vous été accompagné dans l’ouverture de votre micro-crèche en franchise ?
L’accompagnement s’est fait tout au long du projet, et même encore aujourd’hui. De plus, je viens d’une région qui n’est pas simple pour la mise en place de ce genre de projet donc j’avais énormément besoin d’aide. Je n’avais aucune expérience en petite enfance et encore moins en création d’entreprise donc savoir qu’il y a des gens qui sont là pour nous aider peu importe les sujets, c’est rassurant. Le secteur est maîtrisé, le discours et l’aide qu’il y a derrière sont solides donc c’est réconfortant.
Sans oublier tout ce qui est mis à disposition : les documents, les protocoles, l’aide pour le dossier PMI (Protection Maternelle et Infantile) ce sont des choses qui sont très dures à faire soi-même et ça nous enlève une grosse épine du pied.
Les formations théoriques et pratiques proposées par le réseau La Cabane d’Achille & Camille vous ont-elles permises concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
Personnellement, j’ai réalisé ma formation théorique en mars 2021, j’étais au tout début du projet, je venais de signer le contrat une quinzaine de jours avant. Ça m’a directement permis de mettre « un pied à l’étrier », je n’avais pas d’expérience dans l’entrepreneuriat et j’ai pu toucher du doigt ce qu’il allait se passer pour moi. Et ça redonne un vrai coup de « boost » pour la suite ! J’ai simplement trouvé que c’était un petit peu tôt pour moi : je n’avais même pas encore de local.
Bien sûr que les formations nous aident beaucoup et surtout la partie pratique dans mon cas, qui permet de voir comment ça va se passer à l’intérieur d’une structure, comment elle fonctionne, voir ce qu’on aimerait mettre en place ou non, d’échanger avec les équipes pédagogiques et finalement avoir un aperçu de ce qu’est le rôle du gestionnaire. Quinze jours de chaque, ce n’est vraiment pas de trop.
Auriez-vous pu mener à bien cette ouverture de micro-crèche si vous aviez dû le faire seule ?
Non, pas du tout ! J’aurais peut-être essayé de me lancer dans cette aventure seule mais je pense que j’aurais rapidement lâché l’affaire ! [rires] Il y a trop de choses à penser, à créer… Je n'aurais jamais été au bout sans la franchise. Toute la partie « banque, comptabilité, financement » étaient des notions que je ne maîtrisais pas et que je ne maîtrise pas encore très bien aujourd’hui. Donc encore une fois, c’est agréable de savoir qu’il y a la franchise derrière. Surtout qu’en Île-de-France, c’est un peu différent : les prix sont en général plus élevés, surtout ceux des loyers et les banques ont plus de mal à nous suivre dans ce genre de projet.
Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
Bien sûr ! Mon rêve serait d’ouvrir une structure aux Antilles, en Martinique, ça serait le but ultime pour moi ! Mais dans tous les cas, j’aimerais en ouvrir une, deux, trois de plus parce que j’aime ça, mais pour l’instant je vais profiter de ma structure en essayant de bien la gérer et de m’épanouir dedans. Mais c’est avec plaisir que je retenterai l’expérience d’une deuxième ouverture plus sereinement je pense.
En termes de chiffre d’affaires, vous étiez-vous fixé des objectifs ? Si oui, ont-ils été atteints ?
Oui forcément, je me suis fixé des objectifs mais je viens à peine d’ouvrir donc dire qu’ils sont atteints ça serait mentir. Mais la structure est complète depuis ce mois-ci donc il n’y a aucune raison que cet objectif ne soit pas atteint dans 1 an mais c’est un petit peu tôt pour m’avancer.
Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats qui souhaiteraient ouvrir une micro crèche La Cabane d’Achille & Camille ?
Je lui dirais que ce n’est pas tous les jours « rose » et facile : il y a des hauts et des bas mais le résultat en vaut la peine donc il faut foncer et rejoindre La Cabane d’Achille & Camille !
Comment rejoindre le réseau La Cabane d’Achille & Camille ?
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