« En deux mois, on arrive à un chiffre d’affaire qui correspond à nos attentes », Laurine Duchesne et Thibault Paul, franchisés La Cabane d'Achille et Camille à Mâcon
Franchisés La Cabane d'Achille et Camille depuis un an à Mâcon et particulièrement satisfaits de l'accompagnement qu'ils ont reçu, Laurine Duchesne et Thibault Paul se font aujourd'hui ambassadeurs de l'enseigne de micro-crèches. Témoignage.
LA CABANE D'ACHILLE ET CAMILLE
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Laurine, mon associée, a 26 ans, est titulaire du diplôme d’aide-soignante et d’auxiliaire de puériculture depuis 4 ans. Elle a exercé pendant 3 ans avant l’ouverture de notre Cabane. Pour ma part, j’ai 33 ans, j’ai un BTS (Brevet de Technicien Supérieur) technico-commercial dans l’agroalimentaire et une licence en management. J’ai travaillé pendant 10 ans dans le nettoyage industriel en tant que responsable d’exploitation et nous avons ouvert notre Cabane le 12 septembre 2022.
Qu’est-ce qui vous a amené à collaborer pour créer ce projet ?
Le hasard ! À la base, c’est moi qui ai quitté mon travail au bout de 10 ans pour faire autre chose mais je ne savais pas quoi. Je savais que je voulais me lancer dans l’entrepreneuriat mais je ne savais ni comment, ni dans quel domaine, ni avec qui. Et Laurine est venue me soumettre l’idée : « Pourquoi ne pas ouvrir une micro-crèche ? On pourrait associer nos compétences. ».
Je n’ai pas pris cette idée au sérieux au début, mais elle a germé, je me suis renseigné et je me suis dit que ce n’était finalement pas une mauvaise idée car mon côté « gestion » et son côté « technique » pourraient être complémentaires. Laurine n’envisageait pas forcément de quitter son travail mais ce concours de circonstances a fait que nous avons mené ce projet à bien.
Pourquoi avoir ouvert votre micro-crèche avec La Cabane d’Achille & Camille ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
Nous avons beaucoup fouillé sur Internet, recherché les franchises qui nous semblaient intéressantes. L’idée de nous lancer en indépendant nous a traversé l’esprit mais très peu de temps. Nous nous sommes dit qu’avec une franchise, nous aurions accès à des supports pour avancer plus sereinement et nous serions épaulés dans les moments plus difficiles.
Techniquement, grâce à nos 2 domaines de compétences, nous aurions pu nous lancer seuls mais il était plus judicieux de nous affilier à un réseau. Je ne voulais pas perdre ce côté « groupe », « échanges », « discussions », « rencontres » que j’appréciais dans mon ancien métier.
Nous nous sommes donc beaucoup documentés et la toute première personne que nous avons contacté était Junior [Noubissi, président-directeur général et co-fondateur de La Cabane d’Achille & Camille, ndlr], qui nous a proposé de contacter d’autres franchises pour pouvoir comparer mais nous ne l’avons pas fait. Les discours qui figuraient sur leur présentation ne correspondaient pas à notre volonté et à nos valeurs.
Nous avons rappelé Junior quelques jours plus tard pour lui dire que c’était La Cabane d’Achille & Camille que nous voulions et pas une autre franchise.
Etiez-vous dans la petite enfance avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé pour vous reconvertir dans la petite enfance ?
Non, je n’étais pas dans le secteur de la petite enfance mais j’étais dans le domaine du service à la personne et je voulais y rester. Laurine, quant à elle, travaillait déjà dans des structures d’accueil du jeune enfant et cela la passionne. Donc nous avons continué dans cette voie.
Comment avez-vous été accompagné dans l’ouverture de votre micro-crèche en franchise ?
L’accompagnement est approprié pendant toutes les étapes du projet. Si on demande quelque chose, on l’a, peut-être pas instantanément mais on l’a. Nous avons toujours eu des réponses de qualité et adaptées. Une disponibilité d’Anne-Laure [Noubissi, directrice et cofondatrice de La Cabane d’Achille & Camille, ndlr] et de Junior à toute épreuve, nous avons fait une prévisite PMI (Protection Maternelle et Infantile) un dimanche alors qu’ils étaient en après-midi crêpes ! [rires] Notre première visite PMI est également tombée pendant les vacances d’été et malgré tout, ils étaient présents.
À partir de là, on peut dire que leur dévouement et l’accompagnement est irréprochable parce que je ne pense pas qu’un autre franchiseur aurait pu faire cette démarche-là.
Il ne faut pas hésiter à demander lorsque l’on a besoin de quelque chose. De ce fait, on ne sent pas le « poids » du réseau, on se sent presque indépendant tout en sachant qu’il est là en cas de problème.
Pour résumer, nous pouvons dire que l’accompagnement est bien présent et qu’il est fait de la bonne manière.
Les formations théoriques et pratiques proposées par le réseau La Cabane d’Achille & Camille vous ont-elles permises concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
Nous avons réalisé ces formations il y a exactement un an et elles ont été complémentaires. Nous avons tous les deux nos domaines de compétences et ces formations nous ont permis d’échanger. Personnellement, j’ai découvert énormément de choses : la formation Snoezelen, les protocoles, etc. Idem du côté de Laurine pour tout ce qui est la gestion d’exploitation, les travaux, etc.
Pour ma part, je trouve que la formation théorique de 2 semaines est plutôt bien modulée, je n’ai pas vu le temps passer, il y avait des activités, c’était dynamique : j’ai vraiment apprécié et il en est de même pour Laurine.
Pareil pour la formation pratique, j’ai beaucoup appris. Parfois même de manière innocente car je découvrais un « monde nouveau », je n’avais jamais été dans une micro-crèche. Pour quelqu’un comme Laurine, les 2 semaines étaient un peu « longues » car elle avait déjà vu la plupart des choses suite à ses expériences professionnelles.
Mais pour quelqu’un comme moi qui part de « rien », ces 2 semaines sont vraiment adaptées.
Envisagez-vous d’ouvrir plusieurs structures avec La Cabane d’Achille & Camille ?
Nous sommes situés dans une ville assez importante où les besoins sont présents. Avec Laurine, nous nous imaginons mal continuer avec une seule Cabane. Tout d’abord, pour satisfaire le nombre croissant de parents qui nous envoie une demande de préinscription car il y a de plus en plus de familles intéressées par le concept et les horaires [5h30 - 22h30] ; même si à ce rythme-là, on ne s’arrête jamais ! D’autre part, nous sommes 2 sur la même structure, je n’ai pas de diplôme dans le domaine de la petite enfance donc je ne travaille pas auprès des enfants. Le rôle d’un gestionnaire est aussi de se sortir un salaire donc une seule structure, ça peut paraître compliqué lorsque l’on est deux.
En termes de chiffre d’affaires, vous étiez-vous fixé des objectifs ? Si oui, ont-ils été atteints ?
Je vais évoquer 2 choses : tout d’abord, le prévisionnel que nous avions établi. Nous cherchions à atteindre 85% du taux de remplissage sur l’année et au mois de novembre, nous sommes quasiment à 100%, 96% pour être précis [rires]. Avec Laurine, nous nous étions laissés six mois pour que la micro-crèche soit complète et aujourd’hui, en deux mois, on arrive à un chiffre d’affaire qui correspond à nos attentes.
De plus, nous avons une amplitude horaire très large donc nous pouvons répondre à tous types de besoin.
Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats qui souhaiteraient ouvrir une microcrèche La Cabane d’Achille & Camille ?
Je commencerais par lui dire de ne pas s’implanter sur Mâcon [rires] ! Nous avons été « ces candidats » avec Laurine car, avant notre signature, nous avons rendu visite à Déborah, la franchisée de Bourgoin-Jallieu et Vaulx-Milieu (38). Elle nous a fait visiter sa structure et a pu répondre à nos questions.
Pour ma part, si un futur candidat vient me voir, j’échangerai avec lui, je répondrai à ses questions. Je lui dirai tout le bien que je peux penser de La Cabane d’Achille & Camille et de son accompagnement. Je lui parlerai aussi du suivi régulier, de la qualité des supports que l’on nous fourni et surtout la qualité de l’équipe du siège !
Mais je ne lui vendrai pas du rêve non plus ! Il ne faut pas se mentir, ce n’est pas facile. Il y a des difficultés auxquelles la franchise ne peut pas répondre : des difficultés financières, des difficultés avec une famille ou avec un membre de l’équipe pédagogique. C’est dur, ce n’est pas le monde des bisounours, mais si ce candidat veut se lancer, être bien accompagné et ne recherche pas forcément « l’argent avant tout » mais un esprit famille : il a frappé à la bonne porte car c’est ce que nous ressentons avec Laurine à l’heure actuelle.
Alors si vous aussi vous souhaitez ouvrir une micro-crèche avec une enseigne humaine qui assure un accompagnement et une formation coomplète, rendez-vous sur la fiche franchise La Cabane d'Achille et Camille pour en savoir plus.