David Israël est franchisé du réseau Anacours à Chelles, en Seine-et-Marne, depuis près de 8 ans. Pour Toute la Franchise, il a accepté de témoigner de son expérience aux côtés du spécialiste du soutien scolaire.
Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
David Israël : Je suis directeur de l’agence Anacours Chelles. Avec un début de carrière en tant que commerçant et de belles années comme cadre dans une grosse PME, à 40 ans, j’avais envie de redevenir indépendant, mais adossé à une enseigne porteuse et avec un métier où je me sentais utile.
TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
DI : Dans le travail, les relations humaines sont très importantes. Rencontrer les directeurs d’Anacours a été décisif pour moi car ils ont su créer un lien de confiance. Si j’ai choisi Anacours, c’est par sa position de leader sur le marché. C’est aussi pour toutes leurs connaissances du métier, et l’aide qu’ils m’ont apportés lors de la création de l’agence. Je n’avais pas rencontré de concurrents de l’enseigne auparavant.
TLF : Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
DI : Je n’étais pas dans la profession de l’enseignement avant de me lancer, mais j’étais dans le secteur de la vente et du marketing. Ainsi j’avais une certaine expérience et connaissance de la relation client.
TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
DI : Au commencement, j’étais accompagné pour la mise en place du local et j’ai été formé pour être apte à accueillir les clients et gérer les enseignants.
Aujourd’hui, j’ai toujours un suivi régulier pour le développement de l’agence avec des visites régulières et surtout avec un contact direct, Caroline Vauthier (l’animatrice du réseau), à qui je peux m’adresser si j’ai la moindre question.
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
DI : Effectivement, la formation m’a permis de démarrer mon activité. La notoriété d’Anacours et les réseaux de partenaires m’ont permis de décoller dès le démarrage.
TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
DI : Mon franchiseur a respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé. L’équipe est très professionnelle et efficace.
TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
DI : Grâce aux séminaires qui ont lieu deux fois par an, nous avons tissé des liens. Cela nous met en confiance et nous permet de nous contacter si l’un de nous a besoin d’aide.
TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
DI : Les objectifs réveillent notre esprit de compétition mais ne sont pas faits pour être atteints. Ils nous permettent de donner le meilleur de nous-même pour faire vivre l’agence. S’il s’avère que nous atteignons l’objectif, nous sommes désireux d’en vouloir plus et d’aller plus loin.
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
DI : Anacours est très bien référencé sur internet et nous sommes très présents auprès de partenaires et prescripteurs nationaux… ce qui nous amène le trafic nécessaire au bon développement de l’agence. Egalement, j’élargis la communication locale avec de l’affichage, du tractage, et avec un développement des services additionnels, autre que les cours à domicile (stages intensifs, cours en agence, …)
TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
DI : Il est vrai qu’Anacours est en adéquation avec la demande des familles présentes autour de moi ainsi qu’avec des étudiants et professeurs désireux d’avoir un complément de salaire.
TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
DI : J’ai remarqué qu’il y avait toujours un décalage entre la théorie et la pratique. N’étant pas du métier à la base, j’ai décidé de faire confiance au franchiseur et je ne suis pas déçu. Il y a une évolution du marché et nous nous adaptons sur le terrain.
TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
DI : Je doute que j’aurais pu mener à bien mon activité si j’avais été seul, ou du moins avec beaucoup plus de difficultés. J’aurais découvert le métier sur le terrain, du coup la mise en place aurait été lente, ce qui aurait nuit à l’image de l’agence.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
DI : J’ai renouvelé mon contrat (j’en suis à ma huitième année), donc si c’était à refaire, je signerais à nouveau avec mon franchiseur.
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
DI : Il faut être prêt à gérer une équipe d’enseignants et savoir anticiper les besoins des parents et des élèves. Il est aussi important de se sentir "en phase" avec le positionnement et la stratégie de développement du franchiseur.