Comment avez-vous connu l’enseigne CAPRIM ?
Tout simplement, en faisant des recherches sur internet.
Comment s’est passé votre premier contact avec le responsable ?
Très bien. Nous avons convenu d’un RDV durant lequel il m’a posé des questions auxquelles j’ai répondu. Puis j’ai pris du temps pour faire des recherches sur lui-même et son cabinet, histoire de réfléchir avant de m’engager.
Avez-vous été reçue dans les locaux d’un cabinet et, si oui, quel a été l’accueil réservé ?
Oui j’ai été reçue dans un autre cabinet de recouvrement pour me faire une idée. Ensuite, j’ai été reçue par M. Boucard dans son cabinet Caprim de la Rochelle. Pendant 2 jours et demi, il m’a longuement parlé du métier, de l’enseigne et de son "gourou" M. Roussette.
Par la suite, quelles démarches avez-vous effectuées avant la signature de votre contrat ?
Ensuite, je suis allée à la rencontre du "monstre" B. Roussette chez lui à Amboise. J’ai été gracieusement hébergée par ses amis puis, pendant une journée, il m’a présenté son cabinet, son enseigne et a bien répondu à mes questions de façon à gagner ma confiance.
Que pensez-vous de la formation diffusée ?
Bonne mais, si cela ne coûtait pas si cher, j’aurais prolongé d’une semaine car moi j’ai besoin de temps pour comprendre et me sentir à l’aise. Fort heureusement, j’ai été formée avec mon fils Nelson qui pourra me dépanner notamment au niveau d’utilisation du logiciel Arpège. Suite à une panne d’internet, on n’a pas eu l’occasion de travailler avec cet outil mais je pense que cela ne devrait pas poser de problème majeur.
Après cette formation, quel est votre sentiment sur le concept CAPRIM ?
Après avoir souhaité créer mon entreprise avec un partenaire sérieux et fiable et avec le recul de quelques mois, même si je n’ai pas encore concrètement démarré, je suis ravie d’avoir rencontré Caprim et Bernard pour construire mon projet. Je suis consciente que c’est à moi de travailler et réussir mon pari mais je me sens confiante dans l’accompagnement et le « service après-vente » du réseau Caprim.
Avez-vous sollicité et visité d’autres franchiseurs ?
Oui.
Comparativement, quel est votre sentiment ?
J'ai fait mon choix.
Vos commentaires personnels :
Après avoir rêvé d’avoir un bébé « professionnel », je viens de le mettre au monde avec le concours d’un père, non biologique, mais virtuel et professionnellement compétent. Je suis aujourd’hui outillée pour le faire grandir, j’espère qu’il aura longue vie et contribuera à mon Bonheur de "mère porteuse".
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