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Audrey Richard et Julien Capelle

ADDICT GAMES

Audrey Richard et Julien Capelle

fondateurs du réseau Addict'Games

Franchise ADDICT GAMES

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 2009
  • - Date de lancement de la franchise : 2011
  • - Nombre d’implantations : 3
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Interview de Audrey Richard et Julien Capelle

Publié le
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Audrey Richard et Julien Capelle ont fondé la société Addict’Games il y a trois ans. Depuis l’an dernier, ils ont choisi de s’ouvrir à la licence de marque. Pour Toute la Franchise, ils reviennent sur les raisons de ce choix et leurs perspectives de développement.

Toute la Franchise : Qu’est-ce qui vous a poussé, au départ, à créer Addict’Games ?
Audrey Richard et Julien Capelle :
Nous travaillions tous deux dans la vente et nous savions qu’un jour, nous ferions quelque chose ensemble. Le jour où un emplacement s’est libéré, nous avons sauté sur l’occasion et créé notre entreprise. Il y avait une forte attirance pour les jeux vidéo et tout s’est fait naturellement !

TLF : Comment vous différenciez-vous des autres magasins du même type ?
A.R. et J.C. :
Nous faisons du jeu vidéo neuf et d’occasion, mais également du vintage, du retro gaming et des jouets vintage. Ce sont ces points-là qui nous permettent d’attirer une vraie clientèle fidèle. Si nous faisons la même chose que les autres, c’est sûr qu’on ne pourra pas faire le poids en étant une petite structure. Alors que là, on s’en tire très bien et quand nous nous sommes implantés à Nantes, il y a trois ans, notre arrivée a pas mal fait parler la concurrence. Il faut dire que nous avons aussi une politique de prix assez agressive sur le neuf. Ce qui fait que, de fil en aiguille, les gens viennent chez nous plutôt que chez un concurrent !

TLF : Pourquoi avez-vous choisi de vous développer sous forme de licence de marque ?
A.R. et J.C. :
C’est le plus simple pour nous, et le plus juste pour les personnes qui nous rejoignent. Avec la licence de marque, elles bénéficient de l’image de marque d’Addict’Games, de nos fournisseurs, de notre accompagnement, mais gardent vraiment leur indépendance. Nous n’allons pas être derrière eux pour leur imposer un changement de couleur de peinture, ou leur réclamer des redevances sur chaque vente.

TLF : Quels profils de licenciés recherchez-vous ?
A.R. et J.C. :
Nous voulons avant tout des gens mâtures, qui savent ce qu’ils veulent. Vous savez, il est facile de devenir patron, mais beaucoup plus dur de le rester ! Nous recherchons donc des personnes qui font preuve de dynamisme, de motivation et qui ont la tête sur les épaules. La passion du jeu est bien évidemment un plus mais cela ne fait pas tout !

TLF : De quel accompagnement bénéficient vos licenciés ?
A.R. et J.C. :
Dès le départ, nous les prenons avec nous, nous leur expliquons le fonctionnement et ils peuvent même venir avec nous, en magasin, pour voir comment les choses se passent sur le terrain. Pour les aider, nous nous rendons aussi sur place, pour tâter le terrain avec eux. Il est par exemple important de les guider, de les conseiller dans le choix de leur local. Ensuite, ils bénéficient de la transmission de la base de données, où tout est référencé, ce qui leur facilite énormément le travail. Et toute la partie présentation du magasin, lancement de l’activité est également bien encadrée, s’ils en ont besoin.

TLF : Quels avantages ont-il à se lancer avec vous plutôt que tous seuls sur le marché du jeu vidéo ?
A.R. et J.C. :
Au-delà de tout l’accompagnement dont nous venons de parler, le gros avantage est qu’ils peuvent profiter de notre force. Même si nous sommes encore une petite structure, nous avons un gros réseau de fournisseurs avec lesquels nous avons l’habitude de travailler. Je pense qu’il est toujours plus simple de travailler ensemble, pour être plus forts, que seul dans son coin. Et nous avons de vrais atouts par rapport à la concurrence. Chez nous, par exemple, si vous achetez un stock de jeux vidéo dont le prix baisse soudainement, vous pouvez vous tourner vers le fournisseur, qui vous remboursera la différence entre le prix payé au départ et le nouveau tarif. Vous avez également la possibilité de faire un retour complet. Vous n'êtes pas livré à vous-même, bien au contraire !

TLF : Quels sont vos objectifs ?
A.R. et J.C. :
Au niveau du magasin pilote, à Nantes, nous voulons poursuivre le développement du chiffre d’affaires, qui est passé de 250.000 € la première année à 380.000 la seconde, pour, nous l’espérons, atteindre 700.000 € cette année. L’objectif est de dépasser le million d’euros, car c’est à partir de cette somme qu’on peut vraiment voir les choses en grand. Au niveau du réseau, nous voudrions pouvoir ouvrir autant de boutiques que nos concurrents, qui en comptent plus de 70, mais à un rythme réfléchi. Le but est d’en ouvrir une dizaine par an, pas plus. Il faut bien stabiliser chaque point de vente avant de recruter de nouveaux licenciés. Mieux vaut prendre son temps et ne pas prendre de risque que foncer tête baissée ! A terme, j’aimerais me consacrer
[Julien, ndlr] entièrement au réseau et pouvoir faire le recrutement, avec des commerciaux pour vendre le concept. C’est important de prendre le temps de bien recruter.

TLF : Privilégiez-vous certaines zones d’implantation ?
A.R. et J.C. :
Oui et non ! Nous voudrions d’abord prendre tout le côté Nord et descendre petit à petit sur le reste de la France. Mais nous étudions quand même toutes les possibilités qui nous sont présentées. Nous avons par exemple plusieurs demandes en Guadeloupe et en Martinique, ainsi qu'à Paris. Du moment que l’emplacement est bon et que le feeling aussi, pourquoi pas !

Sandrine Cazan, Toute la Franchise ©

Nos interviews sont la propriété de Toute la Franchise.com et sont destinées à la diffusion exclusive sur les sites du Groupe Toute la Franchise

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