EffiCity : du cinéma à l’immobilier, témoignage d'un conseiller parisien
Thomas Bovet a fait le choix, après dix ans dans la production cinématographique, de changer totalement d’orientation professionnelle et de se lancer dans l’immobilier.
« Retrouver un équilibre entre ma vie familiale et ma vie professionnelle ! » Quand on demande à Thomas Bovet, consultant effiCity à Paris, pourquoi il a décidé de quitter le monde du cinéma pour se lancer dans l’immobilier, il n’hésite pas une seconde. Pour lui, une reconversion professionnelle était devenue indispensable pour « envisager le futur sereinement ». Il explique que son statut d’intermittent et toutes les instabilités qui y sont liées, les amplitudes horaires importantes, l’absence de planning et la trop faible rémunération n’étaient plus compatibles avec la vie de famille qu’il souhaitait. L’idée de se mettre à son compte dans l’immobilier lui a été soufflée par un ami, lui-même conseiller chez effiCity. « J’ai été immédiatement séduit : devenir mon propre patron, choisir mon rythme de travail, être rémunéré en fonction de mon investissement, j’allais enfin devenir maître de ma vie ! », s’enthousiasme-t-il.
Et son démarrage, sur les chapeaux de roue, semble lui avoir donné raison. « J’ai signé mon premier mandat 4 jours après ma formation initiale et vendu ce bien dans la semaine ! », explique Thomas Bovet. Une réussite qu’il estime devoir en grande partie à son coach, qui l’a accompagné sur chacun de ses rendez-vous et soutenu dans le lancement de son activité, répondant à l’ensemble de ses questions. Aujourd’hui, le principal objectif du conseiller parisien est de parvenir à se verser la même rémunération que celle qu’il touchait auparavant : « Ce sera ma première victoire : être devenu maitre de mon temps sans avoir perdu d’argent ».
Il voudrait ensuite développer son propre réseau commercial. « J’aime travailler en équipe et partager ma réussite, avoue le consultant immobilier. J’ai déjà commencé à parler de ma nouvelle vie à mon entourage et à mes anciens collègues afin de leur faire profiter de cette opportunité de reconversion. »