Astikoto : « Nous sommes un Yves Rocher de l'automobile ! » - Interview vidéo Franchise Expo Paris

Jean-Noël Cornuaille, dirigeant fondateur Astikoto, était présent à Franchise Expo Paris pour présenter son concept aux créateurs d’entreprise intéressés par le secteur du lavage écologique en franchise. Il répond aux questions de Toute la Franchise autour des atouts de son concept, de l’état de son développement et de ses perspectives pour les années à venir. 

Toute la Franchise : Quel est le concept développé par la franchise Astikoto ?

Jean Noël Cornuaille : Le concept d'Astikoto associe sur un même lieu de vente du libre-service de lavage qui s'adresse à tout type de véhicules (auto, moto, bateau, véhicules utilitaires et camping-cars) mais également tout ce qui est prestations personnalisées et boutique. En gros, nous sommes un Yves Rocher de l'automobile ! 

TLF : Quel bilan dressez-vous de l’année 2019 ?

J-N.C. : 2018 a été une année charnière : nous avons dépassé les 10 points de vente. C'est également l'année où nous avons effectué une levée de fonds importante pour nous structurer de façon à accélérer notre développement. Nous avons ouvert deux centres et en avons agrandi un troisième. 

TLF : Quels sont vos objectifs de développement pour cette année et à plus long terme ?

J-N.C. : Nous avons pour objectif d'être 50 à horizon 2026. Je pense que nous ouvrirons deux points de vente en 2019. On peut même y ajouter un 3e, qui est inclus en 2018 mais qui a ouvert sur l'exercice 2019. 

TLF : Vous vous êtes récemment engagé dans une nouvelle démarche RSE. Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

J-N.C. : Astikoto se positionne, à l'origine, sur l'écologie mais nous allons plus loin aujourd'hui car on voit bien que les choses doivent avoir du sens. Nous sommes donc désormais adhérents au comité 21 et nous nous sommes engagés dans une charte RSE, ce qui permet de joindre le sociétal et l'environnemental. Le fait d'être sur des centres de lavage humanisés avec un commerçant sur place en permanence nous différencie des autres centres, plutôt fantômes, où il n'y a jamais personne !