Green is Better, un concept qui s’adapte particulièrement bien à l’international
La chaîne de saladbars à la française, déjà présente dans plus d’une vingtaine de pays à travers le monde, compte bien poursuivre son développement à l’international. John Furman, CEO de Green is Better, explique que le réseau vient notamment de signer un gros contrat pour son développement au Moyen-Orient et qu’il lancera, à la rentrée, un programme spécial pour les Etats-Unis.
60 nouveaux restaurants Green is Better au Moyen Orient
C’est LA nouvelle de ce printemps au niveau du développement international de Green is Better : l’enseigne française lancée en 2006 vient de signer un important contrat avec un grand groupe hôtelier pour son développement au Moyen-Orient. « Nous avons un engagement de 60 magasins dans cinq pays du Moyen-Orient », se félicite John Furman, CEO de Green is Better, dans une interview récemment publiée sur Toute la Franchise autour de son expansion.
Le groupe spécialisé dans la restauration rapide saine et équilibrée autour des salades à composer soi-même, compte déjà plusieurs établissements aux Emirats Arabes Unis et au Qatar et il entend bien poursuivre son maillage dans ce secteur, parallèlement au reste de son développement. Car l’international est au cœur de la stratégie de développement de Green is Better. « Nous avons un concept qui se prête particulièrement bien à l’international, explique John Furman. Et les créateurs d’entreprise sont nombreux à nous contacter pour ouvrir un restaurant Green is Better à l’étranger ! »
Un programme pour les chefs d’entreprise expatriés aux Etats-Unis
Le réseau vient d’ailleurs de mettre en place un programme spécial pour les entrepreneurs qui souhaitent se lancer en franchise aux Etats-Unis. « Ce programme s’adressera aux expatriés qui veulent créer leur entreprise outre-Atlantique, et plus précisément en Floride », détaille le CEO de l’enseigne.
Le choix de cet état américain ne doit rien au hasard : « la Floride est l’un des états où créer son entreprise coûte le moins cher. Là où vous dépensez 200$ à New-Yok ou 180 en Californie, il ne vous en coûtera que 100 en Floride », résume John Furman, qui précise que la communauté française est également très importante dans cet état du Sud des Etats-Unis, ce qui facilite, forcément, le développement d’un commerce français. Ce programme d’accompagnement à l’expatriation devrait débuter au mois de septembre prochain.
Tous les atouts de Green is Better pour la franchise à l’international
Pour comprendre l’engouement des entrepreneurs pour ce concept de saladbars qui a vu le jour en 2006 à Paris, il faut se pencher sur la liberté qui est laissée aux franchisés. « Au lieu d’attacher le candidat, de le brider comme c’est le cas dans de nombreuses franchises, nous avons fait le choix de lui laisser sa liberté, explique John Furman. Nous partons du principe que toute idée est bonne à prendre et que ça vaut le coup de l’essayer. Donc, au final, nous avons un concept qui s’adapte au local, qui n’est pas complètement figé et qui rassure les créateurs d’entreprise ! »
Cette faculté de l’enseigne à s’adapter au marché local est sans conteste l’une des clés de son succès à l’international. « Nous avons par exemple réussi à faire un concept équitable à l’africaine, en nous appuyant sur les idées d’un de nos nouveaux franchisés, sourit le CEO du groupe. C’est ça la magie de Green is Better ! »