Toute la franchise : Pouvez-vous vous présenter ?
Claude VISCONTI : Claude VISCONTI, Gérant de la société NEVAD à Marseille. J’ai progressé avec succès dans tous les services administratifs et commerciaux d’entreprises régionales, nationales et internationales, pour arriver au poste de Directeur Commercial.
Puis il y a un an, j’ai du remettre ma vie professionnelle en question suite à un remerciement que connaissent souvent les cadres ayant dépassé la cinquantaine.
T.L.F : Comment êtes-vous entré en contact avec l'enseigne Nettycars ?
C.V. : J’ai cherché des idées novatrices pour démarrer une activité personnelle. L’idée du nettoyage de véhicules à domicile a traversé mon esprit et je me suis renseigné sur Internet. J’ai contacté l’enseigne qui me paraissait la plus sérieuse, la plus attirante, et surtout la seule défendant vraiment des valeurs écologiques.
L’ensemble semblant correspondre à mes attentes.
T.L.F : Comment s’est déroulée la période entre votre premier contact et vos débuts ? Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ?
C.V. : C’est une suite d’échanges, puis une confiance qui s’instaure petit à petit et pas à pas, jusqu’à ce que nous soyons l’un comme l’autre sûrs que nous faisons le bon choix.
T.L.F : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
C.V. : Oui, et nous avons beaucoup échangé nos points de vue, car chaque région, chaque personne est unique et Nettycars comprend et respecte l’identité géographique et humaine de chacun.
T.L.F : Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ? Si oui, pourquoi avoir choisi cette enseigne ?
C.V. : Non, j’ai tout de suite cru en eux, le présent me le confirme et l’avenir me le prouvera certainement.
T.L.F : Quels sont les services que vous apporte votre franchiseur au démarrage de votre activité ?
C.V. : Un gros support : Formations, aides technologiques, matériel, marketing, publicité, suivi commercial.
T.L.F : Etiez-vous de la « profession » avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
C.V. : Pas du tout. Mais il est vrai que je suis passionné de voitures et que je ne supporte pas de voir un véhicule sale à l’intérieur et à l’extérieur. Tout petit j’aidais naturellement mon père à nettoyer sa voiture, et j’ai toujours pris du plaisir à accomplir cette tâche avec mes propres véhicules par la suite. Même si le travail était long et pénible (nous n’avions pas les outils et produits actuels), la satisfaction du résultat était à elle seule gratifiante.
T.L.F : Avez-vous besoin de votre franchiseur dans le cadre de votre activité ? Répond-il à votre attente ?
C.V. : Oui nous faisons parti d’un groupe ou l’information doit circuler librement, qu’elle soit positive ou négative. L’expérience de chaque membre à quelque niveau que ce soit, franchisé ou franchiseur est constructive.
C’est pourquoi nous avons besoins les uns des autres.
T.L.F : Comment se passe les relations avec vos collègues franchisés ?
C.V. : Jusqu’à présent je n’ai pas encore rencontré tout le réseau, mais les relations que j’ai déjà eu sont positives. Nous sentons bien que nous sommes dans la même Equipe.
T.L.F : L’esprit « réseau » est il réellement effectif ?
C.V. : Il est essentiel, je l’ai dit précédemment et je le répète avec force tout repose sur la communication, sans celle-ci il ne peut pas y avoir de réseau digne de ce nom, ou alors un réseau avec des dysfonctionnements qui conduiront à l’échec.
T.L.F : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
C.V. : Elle est essentielle, mais cela est vrai pour tous les métiers. On croit savoir, mais on se rend vite compte que l’on perd facilement du temps. On a besoin d’acquérir des automatismes auxquels on ne pensait pas auparavant.
T.L.F : Quelles actions envisagez vous de mener pour développer votre C.A et vos clients ?
C.V. : Un premier travail de prospection se fait sur le terrain en sillonnant les zones d’activité pour repérer les types d’entreprises les parcs véhicules particuliers et professionnels. De là une liste est établie.
Ensuite c’est le travail commercial pur qui démarre avec prises de rendez-vous, actions commerciales etc.…
T.L.F : Pensez vous que l’on puisse mener à bien votre début d’activité si vous aviez du la créer seul ?
C.V. : Peut-être, mais cela aurait pris beaucoup plus de temps, analyse du marché, investissements, connaissance des moyens technologiques, image de marque à promouvoir, publicité, marketing.
Beaucoup de temps et d’énergie dépensés avec un risque de concurrence commercial et technologique.
T.L.F : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
C.V. : Oui sans l’ombre d’un doute à 56 ans on ne part pas à l’aventure au hasard
T.L.F : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par l'enseigne Nettycars ?
C.V. : Aucun, je crois que c’est à chacun de savoir ce qu’il veut ou ne veut pas faire, ce qu’il sait ou ne sait pas faire, ce qu’il peut ou ne peut pas faire.
En tout cas si cette aventure avec NettyCars l’intéresse, qu’il contacte la tête de réseau, après il se fera son idée lui-même.
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