Jérôme Geyres est commercial chez Façades Landaises, un des concessionnaire du groupe Vertikal, depuis fin 2009. Agé de 23 ans, ce jeune diplômé apprécie particulièrement de faire partie d’un réseau.
Toute la Franchise : Comment avez-vous adhéré au réseau Vertikal ?
Jérôme Geyres : Je recherchais un emploi dans le secteur commercial en sortant de mes études. Après un CAP et un bac pro ébénisterie, j’ai fait un BTS technico-commercial, je voulais donc trouver une place dans ce domaine. J’ai intégré Façades Landaises, qui est franchisé de Vertikal, en octobre 2009. Depuis, je suis salarié de l’entreprise, et je fais donc partie du réseau Vertikal à part entière.
TLF : C’était important pour vous d’intégrer un réseau de franchise ?
J.G. : Au départ, non ! Je ne savais pas vraiment ce que c’était. Mais j’ai tout de suite été mis dans le bain, puisque ma formation initiale de deux jours a débuté juste après mon embauche. On nous a expliqué le point de vue de Vertikal pour la vente de produits. Ca a été une bonne piqure de rappel de ce que j’avais appris pendant mes études. Et je me suis tout de suite dit que je pourrais compter sur le réseau.
TLF : Cette impression s’est-elle vérifiée par la suite ?
J.G. : Oui ! Chez Vertikal, il y a beaucoup de suivi. Au moindre souci, à la moindre question, on peut joindre Christian Badia (le franchiseur), qui est toujours très disponible pour nous. On n’est jamais laissé dans la jungle ! Ca évite beaucoup d’erreurs. Et quand il y a une erreur malgré tout, il y a toujours quelqu’un pour nous aider à la réparer. Du coup, ça évite de se démotiver comme ça pourrait être le cas si on ne faisait pas partie d’un réseau. On passe aussi beaucoup de temps à analyser les chiffres. Et il y a toujours des explications, des conseils qui nous sont donnés pour nous aider à nous améliorer.
TLF : Dans votre façon de travailler au quotidien, pensez-vous que faire partie de ce réseau change quelque chose ?
J.G. : Je pense qu’on est beaucoup plus professionnels. Quand je vais chez des clients, il y en a qui me disent qu’ils voient la différence avec d’autres commerciaux qui sont passés avant. On prend le temps de plus leur expliquer les choses et ils apprécient.
TLF : Cette expérience de salarié au sein d’un réseau de franchise vous donne-t-elle envie de vous lancer en tant qu’indépendant ?
J.G. : C’est une idée que j’ai déjà en tête depuis pas mal de temps. J’attends pour l’instant d’avoir plus d’expérience et de connaissances pour me lancer. Mais ce qui est sûr, c’est que le moment venu, ce sera avec Vertikal ! Je sais qu’ici on est bien entourés, qu’on peut compter sur leur aide, de manière concrète.
Tous les ans, on a par exemple au moins une visite de Christian Badia, et une réunion, mais à côté de ça, je l’ai tous les jours au téléphone ! Soit il appelle pour savoir où j’en suis et comment je m’en sors, soit c’est moi qui lui téléphone pour lui poser une question. Et il est toujours disponible pour m’apporter une réponse. C’est ce qui me plaît dans ce concept : on fait partie d’une grande famille. Et si on veut donner son avis sur une amélioration à apporter dans le réseau, on est écouté. C’est une chance !
Sandrine, Rédaction Toute la Franchise©
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