Benjamin Cohen est franchisé pour le réseau Publi Ticket dans la Loire, le Puy-de-Dôme et le Rhône. Avec Toute La Franchise, il évoque son activité avec l'enseigne, qu'il a commencée en août 2011.
Toute La Franchise : Comment êtes-vous arrivé chez Publi Ticket ?
Benjamin Cohen : J'avais une activité dans le prêt-à-porter à laquelle Publi Ticket est venue se greffer. En fait, je sous-traitais déjà pour un grand groupe dans la publicité nationale auprès des collectivités locales et territoriales, et j'ai arrêté pour pouvoir lancer un concept dans la pub qui me serait propre. J'ai cherché et trouvé Publi Ticket, que j'ai rejoint au mois d'août 2011.
TLF : Avez-vous fait la comparaison avec la concurrence ?
B.C. : Oui, j'ai fait des études pour voir comment cela se passait en face. Cela m'a permis de constater que Publi Ticket se détachait du lot comme leader, et de plus, le concept m'a paru intéressant.
TLF : Quelle formation avez-vous eu ?
B.C. : J'ai eu une formation de deux jours qui portait notamment sur l'utilisation des outils à notre disposition (ordinateur, intranet…), sur la méthode de travail et la gestion du temps. Les franchisés voient aussi comment prendre contact avec les distributeurs et les annonceurs ou comment organiser une campagne.
TLF : Comment se sont déroulés ces six premiers mois d'activité ?
B.C. : Pour l'instant, tout se passe très bien. Travailler avec des grandes enseignes permet de se servir de leur notoriété et de leur volume client pour parler du concept aux annonceurs et rentrer dans les budgets communication des entreprises. Mes objectifs sont fixés chaque mois, et jusque-là, le concept plait, donc ils sont remplis. Dans ma structure, je travaille avec des commerciaux car nous sommes sur plusieurs départements, le 42, le 63 et le 69, et il faut être présent partout pour faire face à la concurrence. Cela dit, dans mon secteur, nous travaillons en bonne intelligence avec elle et l'on ne se marche pas dessus.
TLF : Quels outils utilisez-vous dans votre activité ?
B.C. : Nous avons la chance d'être référencés par les grandes et moyennes surfaces les plus connues, ce qui nous permet de gagner beaucoup de temps auprès des distributeurs. Sinon, nous avons des plaquettes, des cartes de visite, etc. Pour la prospection, c'est un peu chacun sa méthode. Nous avons aussi des ordinateurs et un intranet qui permet un échange en continu avec le franchiseur et les autres franchisés pour échanger sur nos expériences, nos idées, etc.
TLF : Quels sont vos relations avec le réseau, franchiseur et franchisés ?
B.C. : Le franchiseur est très à l'écoute. Il s'agit de ma première expérience de la franchise, j'ai toujours été indépendant avant, mais j'ai pu voir que, dès que j'en ai besoin, ils sont là et répondent très vite à mes interrogations. Publi Ticket organise également chaque année une convention avec tout le réseau, mais je n'ai pas encore eu l'occasion d'y participer, mon arrivée est trop récente. Mais il y a aussi, tous les deux mois, des tables rondes avec les franchisés, qui nous permettent de découvrir le vécu de chacun, de savoir où en est le réseau et surtout d'être impliqués dans son développement. Chacun peut donner ses idées et apporter de nouvelles choses à Publi Ticket, que ce soit au niveau technique, commercial ou des méthodes.
TLF : Signeriez-vous à nouveau si c'était à refaire ?
B.C. : Tout à fait, car je suis très satisfait du réseau. Le support tient la route, on a quelque chose d'innovant et qui plait, et les méthodes sont rodées. En publicité, il faut pouvoir tirer son épingle du jeu, et Publi Ticket a su trouver le concept juste.
Laurence Jacquin, Toute La Franchise ©
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