Vous avez maintenant plus de 6 mois d’existence, en qualité de chasseur immobilier sous l’enseigne COTE ACHETEUR.
TLF : Vous êtes franchisé COTE ACHETEUR, êtes-vous satisfait de votre début d’activité ?
O.A. : Je suis tout à fait satisfait du démarrage de mon activité de chasseur immobilier sous l'enseigne Côté Acheteur. J’aime ce qui est bien construit pour durer et c’est ce qui se passe.
TLF : Quand avez-vous réellement démarré votre activité de chasseur immobilier?
O.A. : Après l’obtention de ma carte professionnelle fin février 2007, j’ai commencé ma publicité locale. Parmi les contacts développés, j’ai signé mon premier mandat de recherche mi-avril 2007, et cela a été le vrai départ opérationnel.
TLF : Entre le premier contact avec votre futur franchiseur et votre première recherche effectivement conclue, combien de temps s’est écoulé ? Quelles sont les démarches à effectuer ?
O.A. : J’ai contacté Catherine en Août 2006, et elle m’a renvoyé vers la préfecture pour vérifier la possibilité pour moi d’obtenir la carte professionnelle. Ce que j’ai fait et j’ai eu la réponse positive écrite de la préfecture trois semaines après. Bingo, ma voie était tracée.
Ensuite, un premier entretien à Paris en septembre 2006 pour valider ma candidature , découvrir que je m’entendrais très bien avec Catherine et que son concept de franchise était sensé et porteur d’avenir. Catherine m’a présenté le D.I.P. et nous avons signé le contrat définitif au terme des 21 jours. Parallèlement, il fallait créer ma société, établir un dossier d’Acre avec la direction du travail, préparer un dossier pour mon banquier, faire mon Business plan, déposer mes statuts au greffe du tribunal de commerce, m’inscrire à
Il a donc fallu un an entre le premier contact et le premier chèque. Il faut prévoir une trésorerie suffisante pour vivre pendant ce laps de temps.
TLF : Ce métier de chasseur immobilier se développe de plus en plus, quelles sont les relations que vous avez avec la concurrence ?
O.A. : Lors de mon premier contact, j’avais recensé trois chasseurs immobiliers sur
TLF : Vous avez déjà réalisé des ventes ? Combien ? Etes-vous en accord avec le prévisionnel de votre business plan ?
O.A. : Bien sûr, mes ventes se succèdent au rythme d’une par mois depuis le mois de septembre, ce qui correspond à mon prévisionnel et je sais maintenant que je vais atteindre mes objectifs 2008, voire les dépasser .
TLF : Aujourd’hui, après 8 mois d’activité, vous pouvez dresser le portrait type du client qui fait appel à un chasseur ? D’où vient-il ? Quels sont ses besoins ? Ses attentes ?
O.A. : Il n’y a pas de portrait type en particulier mais tous mes clients répondent au critère « Manque de temps ». Actifs ou retraités, ils ne sont pas sur place, ne veulent pas ou ne peuvent pas effectuer la recherche par eux-mêmes, ils sont utilisateurs d’internet et sont ouverts aux nouveaux concepts.
TLF : Votre nouveau métier est-il bien perçu par l’ensemble de la profession immobilière de votre région ?
O.A. : Je joue toujours la transparence lorsque je me présente à mes contacts professionnels, aussi je suis toujours bien reçu. Nous apportons des clients acheteurs supplémentaires et validés, aussi le taux d’agents qui refusent de travailler avec nous est très faible, de l’ordre de 2%.
TLF : Comment vous faites-vous connaître auprès du public ?
O.A. : Le site Internet est un bon média, ensuite je passe des encarts publicitaires dans des journaux immobiliers, nous avons également nos réseaux locaux, et nous avons les articles dans les journaux lorsque nous arrivons à faire passer notre message aux journalistes. En matière de communication, il n’y a pas de frein, toute nouvelle idée peut s’avérer bonne.
TLF : Qu’est-ce que vous a apporté votre enseigne et votre franchiseur dans votre début d’activité ?
O.A. : D’abord le concept, le site, la formation, une méthode, une ambiance de travail basée sur une qualité d’écoute, un réseau efficace, tous ces apports que je liste là de manière non exhaustive sont chapeautés par un soutien indéfectible et une vraie recherche d’efficacité de la part du franchiseur. Bref, un soutien qui permet un gain de temps et une garantie de succès.
TLF : Quels sont vous perspectives pour 2008 ? En terme de chiffre d’affaires, de nombre de ventes, ou d’évolution de votre activité ?
O.A. : En 2008, je projette de tripler mon chiffre d’affaire, et je vais pouvoir récolter des dividendes de cette activité.
TLF : Qu’attendez-vous de la part de votre franchiseur pour faciliter le développement de votre Société ?
O.A. : Aujourd’hui, nous allons travailler à l’expansion, c'est-à-dire à l’intégration de nouveaux intervenants dans ma structure locale pour faire effet de levier sur les opérations. Il faut grandir avec maîtrise et il faut se développer efficacement, car nous sommes tous dans le même bateau. Le succès des uns fait le succès de tous
TLF : Etes vous un franchisé heureux ?
O.A. : Lucide, heureux et confiant dans le futur.