Nora Belle a rejoint Swixim en tant que négociatrice indépendante dans le Gard en 2013. Elle revient ici sur son parcours et sur ce qui l'a convaincue de rejoindre l'enseigne immobilière.
Swixim : Comment avez-vous débuté dans l'immobilier ?
Nora Belle : Il y a quelques années, avec mon mari, nous avons monté une S.C.I car nous avons acheté puis rénové deux maisons afin de les louer. Le fait de gérer entièrement ces biens m'a beaucoup plu, et on peut dire que c'est grâce à cela que j'ai mis un pied dans l'immobilier.
Pourtant, il faut dire que je n'étais pas vraiment destinée à exercer ce métier puisque j'ai suivi une formation en commerce international, et que j'ai d'abord travaillé dans la grande distribution puis dans le transport aérien.
En 2013, alors que j'étais en poste près de Bagnols-sur-Cèze en tant que responsable de l'export dans un domaine viticole, j'ai commencé à faire des recherches concernant les professions de l'immobilier. Jusque-là, je trouvais certes un intérêt dans mes emplois, mais je n'étais pas passionnée. Il m'a toujours manqué ce petit je ne sais quoi qui permet de progresser et d'envisager une évolution professionnelle dans un secteur.
C'est à ce moment-là que je suis tombée sur Swixim. J'ai tout de suite été attirée par le côté carré du site. J'ai donc décidé de prendre contact avec le courtier du secteur le plus proche de chez moi, qui m'a vanté les mérites du réseau.
J'ai ensuite rencontré Caroline Goetz. Cette entrevue a été la première étape. En parlant avec elle j'ai senti que cette conception de l'immobilier allait me plaire. J'ai voulu tenter ce tremplin-là, alors j'ai quitté mon emploi, je suis partie en formation, et j'ai commencé à travailler pour le réseau fin 2013.
Swixim : Quels sont les atouts de Swixim ?
NB : Chez Swixim, ce sont les méthodes de prospection qui m'ont plu et la souplesse au niveau de la relation client. J'ai été habituée à une certaine agressivité commerciale dans la grande distribution et je ne voulais plus de ça.
Je pense également qu'il est très intelligent de travailler en réseau et de pouvoir ainsi réaliser des ventes croisées. Il est plus facile de générer des revenus de cette manière.
En plus de cela, je dois dire qu'il y a un gros suivi de la part du siège. Nous avons la chance d'avoir Caroline Goetz sur la région, donc nous sommes bien encadrés.
Swixim : Comment se passe votre travail chez Swixim ? Quels sont vos objectifs ?
NB : Je m'en sors bien depuis que je suis chez Swixim car j'arrive à appliquer les méthodes assez facilement et je réussi à générer des revenus réguliers depuis l'année dernière. Ce qui a été compliqué pour moi c'est de passer d'un statut de salarié à un statut d'indépendant et de ce fait de ne pas savoir de quoi sera fait demain.
Aujourd'hui je suis plus sereine et je pense que c'est une chance car ce statut confère une certaine liberté de travail. Depuis que j'ai commencé, l'activité s'est développée et il y a maintenant deux personnes de plus sur le secteur. C'est une bonne chose car grâce à cela nous devrions développer le chiffre.
Pour l'heure, j'arrive en fin de grossesse, il faut donc que je calme le jeu, mais je me suis fixé des objectifs pour l'année 2016. Et, qui sait, il se peut que je monte une franchise dans le futur...
Interview réalisée par Swixim International, reproduction interdite sans autorisation de l'enseigne.