Anna Dziurda a rejoint cette année le réseau Swixim en Eure-et-Loir, dans le secteur de Chartres. Elle revient aujourd'hui sur son parcours.
Swixim : Qu'avez-vous fait avant de vous lancer dans l'immobilier ?
Anna Dziurda : Je suis d'origine biélorusse et j'ai suivi des études de tourisme à l'université européenne de sciences humaines à Minsk. J'ai ensuite travaillé en Suisse, pays dans lequel je servais de guide et d'interprète aux russes fortunés qui venaient recevoir des soins médicaux à Lausanne.
Puis, j'ai donné des cours en tant que professeur de tourisme à l'université dans laquelle j'avais fait mes études. Les locaux avaient été déplacés à Vilnius en Lituanie. À cette époque, en 2007, j'ai rencontré mon mari que j'ai rejoint en région parisienne.
Pendant une année, j'ai donc partagé mon temps entre ma vie privée en France et ma vie professionnelle en Lituanie.
En 2010, lassés de la vie urbaine, nous avons eu envie de plus de tranquillité et nous avons décidé d'emménager dans l'Eure et Loir, région dans laquelle nous sommes tombés amoureux d'une maison.
Nous habitons aujourd'hui à Chartres, un bon compromis selon moi entre l'isolement de la campagne et l'effervescence de la grande ville.
Depuis 5 ans, Je me consacre à l'éducation de mon enfant, et c'est en intégrant le réseau Swixim que j'ai repris le travail.
Swixim : Comment avez-vous débuté chez Swixim ?
AD : J'ai toujours été intéressée par l'immobilier. Souvent, quand nous partions avec mon mari en vacances sur la Côte d'Azur, je regardais les annonces accrochées aux vitrines des agences immobilières, en pensant que le métier d'agent immobilier aurait pu me convenir, du fait de mon goût pour la profession et de mes connaissances. Mais, je ne savais pas vraiment par quel biais intégrer cette branche d'activité.
Et puis, cet hiver, mon mari qui a monté une franchise nationale « Pizza Hut », a reçu un mail de la part de Swixim. Il a suivi la formation et a commencé au sein du réseau. Je l'ai aidé à ses débuts, et ceci m'a plu.
J'ai donc à mon tour sauté le pas et je suis partie en février afin d'être formée.
Swixim : Qu'avez-vous pensé de la formation ?
AD : La formation était très complète et les intervenants sont des gens formidables. Je pense que, pour les personnes qui comme moi ne viennent pas de l'immobilier, il suffit d'être motivé pour y arriver. Les bases sont enseignées en formation puis l'expérience s'acquiert sur le terrain.
Pour parler de manière concrète de la formation, j'ai beaucoup aimé la partie sur les photos et la force du visuel. J'ai d'ailleurs suivi les conseils concernant la prise de vue et j'ai eu beaucoup de retours positifs de la part de clients.
Swixim : Comment se passe votre travail au sein du réseau ?
AD : J'ai commencé fin février et ça se passe plutôt bien côté client et côté acquéreur. J'ai rentré 24 mandats pour le moment et j'aimerais en décrocher 16 de plus avant fin mai. Mon travail se concrétise car j'ai reçu une offre d'achat et je suis sur le point de signer mon premier compromis de vente. Le bilan est donc très positif.
Je suis très fière de travailler pour Swixim car nous apportons une touche Suisse et c'est vraiment un gage de qualité. Je sais que les services proposés sont innovants et qu'au niveau des assurances c'est du jamais vu.
Les membres de Swixim sont disponibles et à mon écoute, ce qui renforce l'ambiance chaleureuse de notre environnement de travail.
Interview réalisée par Swixim International, reproduction interdite sans autorisation de l'enseigne.
